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vendredi, 31 août 2012

Qui a écrit Le Coran ?

Les Origines chrétiennes du Coran
Les études de Günther Lülling

Source :

http://www.ilya.it/chrono/pages/corancristfr.htm

1. Écrit par une personne ?

Autant que nous le sachions, la Bible n’est pas l’œuvre d’une seule personne mais est constituée de nombreuses parties d’origines différentes qui furent agglomérées de manière presque accidentelle, transmises d’une manière inconnue, jusqu’à ce qu’elles furent finalement intégrées au canon du Nouveau et de l’Ancien Testament. Cette vision de l’origine de l’écriture sainte n’a pas, de loin, été appliquée au Coran qui est généralement considéré comme étant la création d’un individu, Mohammed ben Abdallah (à l’exception bien sûr de ceux qui partent du principe que le Coran est d’origine divine), au VIIème siècle de notre ère.

A Erlangen, le théologien allemand Günter Lüling présenta une étude très détaillée du Coran. Il arriva à une conclusion quasi outrancière, selon laquelle le cœur du livre saint de l’Islam est composé à partir d’un certain nombre d’anciens poèmes chrétiens qui furent ensuite modifiés et enrichis d’autres idées. Les premières publications de Lüling sur le sujet remontent à 1970. Au début ses idées furent rejetées par les autres théologiens et orientalistes, mais aujourd’hui, il compte parmi eux de nombreux adeptes de renom, qu’ils soient allemands, français ou britanniques.

Pour comprendre le fondement chrétien de l’Islam, il suffit de se souvenir que deux courants partageaient la Chrétienté des débuts : d’un côté, les convertis d’origine gréco-romaine, de l’autre, les chrétiens d’origine juive. Le premier groupe, mené par Paul, donna naissance à l’Eglise chrétienne, même si plus tard il se scinda en différentes obédiences. Les Judéo-chrétiens prirent eux un autre chemin, fondant la secte des Ebionites, aussi appelée Nazaréens. Ils différaient des chrétiens gréco-romains sur de nombreux points importants : ils croyaient en un Dieu unique, pas en la Trinité, et rejetaient le dogme de la divinité de Jésus, qu’ils considéraient comme ayant seulement été un ange, choisi et accepté par Dieu qui en fit son messie. En plus du baptême, leurs coutumes comprenaient la circoncision et l’observance du Sabbat comme jour de repos. Ils condamnaient les sacrifices animaux, rejetaient les lois mosaïques et les Prophètes, ainsi que les règles de Paul, et ils préféraient la pauvreté et le végétarisme. Dans leurs rites, ils promouvaient les ablutions ainsi que les prières en direction de Jérusalem, là où les gréco-chrétiens se tournaient vers l’Est.

Au concile de Nicée (AD 325), les commandements des Ebionites furent condamnés, et les traces de cette secte se perdent vers la fin du IVème siècle. Lüling démontre que l’idéologie de l’Islam originel contient des influences ébionites, dont une grande partie a été préservée jusqu’à aujourd’hui dans les cultes ismaélo-chiites. Il est connu que la direction vers laquelle il faut prier que prescrivit initialement Mahomet était Jérusalem, plus tard seulement ce fut La Mecque. En examinant le plan de la Kaaba, le sanctuaire central de La Mecque, Lüling conclut que c’était au départ une église chrétienne orientée vers Jérusalem.

Effectivement, il serait étrange de soutenir que la péninsule arabe toute entière soit restée exempte d’influences chrétiennes. Il serait logique en revanche d’affirmer qu’en plus de l’importante communauté juive de la région, il y avait des groupes importants de chrétiens vivant parmi la population. Leurs traces ne se sont pas entièrement perdues. L’intérieur de la péninsule fut l’asile et le refuge de nombreuses communautés judéo-chrétiennes après que leur foi fut condamnée en 325. Dans ce contexte, les Quraych de La Mecque doivent être vus comme des gréco-chrétiens et des ennemis des Ebionites.

2. Les différentes strates du Coran  

Lüling distingue trois phases dans la compilation des textes coraniques. Tout d’abord, il y eut une collection d’anciens poèmes chrétiens arabes. Ils furent enrichis par Mahomet qui leur donna une nouvelle signification. C’est l’origine du soi disant Premier Coran, qui fut également transmis et couché sur le papier, même si de nombreuses erreurs se glissèrent dans les copies plus tardives. De plus, à cette époque, l’alphabet arabe ne comportait pas les signes diacritiques nécessaires pour distinguer les lettres très semblables.

Après Mahomet, il y a un vide de 150 ans durant lequel aucun changement notable ne peut être observé dans les textes. Ensuite la vie de Mahomet est consignée et les textes sont largement modifiés dans le but d’effacer toutes les caractéristiques de leurs origines juives et chrétiennes. Une fois ce changement réalisé, il s’écoule encore une période de 200 ou 250 ans durant laquelle les traditions islamiques se raffermissent et où tous les autres courants sont éliminés. Et c’est à partir de là seulement que l’Islam s’est imposé dans la forme que nous lui connaissons aujourd’hui d’un enseignement unique et stable. Pour résumer : l’Islam actuel est une création des IX/Xème siècle (de l’ère chrétienne).

Il y a une doctrine qui s’est imposée d’elle même à la fin du VIIIème siècle, selon laquelle le Coran est un livre sacré qui ne fut pas créé par des hommes, mais qu’il est éternel et divin. Il est cependant improbable que le Calife Osman (en accord avec la théologie islamique) ait été capable de réussir à uniformiser toutes les variantes du Coran pendant les quelques années qui ont suivi la mort de Mahomet. Aussi tardivement qu’en 1007 (AD), une version qui prenait sa source dans une époque antérieure à la version unifiée fut brûlée. Il faut également noter que les commentaires les plus connus du Coran ont été écrits au X, XII et XIIIème siècle. De plus, nous ne connaissons pas bien l’esprit des premiers musulmans car l’empire arabe fut détruit vers 750 (AD) par les Abbassides. Et, un nouveau chapitre de l’histoire de l’Islam démarra alors sous l’influence iranienne de cette dynastie, dont l’historiographie effaça complètement les témoignages plus anciens.

Jusqu’au début du Vème siècle de l’Hégire (qui correspond au XIIème siècle de l’ère chrétienne), le remodelage délibéré et les retouches sur tout ce qui avait été préservé par le biais des textes historiques plus anciens n’est pas entièrement accompli. Par exemple, nous connaissons la Chronique de La Mecque d’Al Azraqi (858 AD) seulement d’après une compilation de ses oeuvres qui date de 960 AD. De même, la Description de la vie de Mahomet qu’écrivit Al Waqidi (qui mourut en 822 AD) ne fut pas préservée dans une pièce originale, mais seulement sous forme de sommaire, rédigée au Xème siècle. Ou encore, Al Ya’kubi (mort en 897 AD) peut être considéré comme l’un des premiers historiographes arabes. Tout cela montre que les premiers siècles de l’Islam ne sont pas très riches en documents. Aussi nous ne pouvons pas être surpris de l’existence d’influences « islamiques » dans la poésie antérieure à l’Islam qui ont été relevées par de nombreux auteurs arabes (Taha Hussein par exemple). Au lieu de douter de l’authenticité de ces ballades, nous pouvons supposer qu’elles furent influencées par les mêmes poèmes judéo-chrétiens du cœur du Coran, objet des réformes mahométanes.

3. Les réformes mahométanes  

Lüling définit les transformations faites par Mahomet ainsi :

L’action du Prophète se concentra sur la défense des traditions des judéo-chrétiens, des monothéistes et des adversaires de l’idolâtrie contre le Christianisme hellène et trinitaire, dés qu’il s’établit à La Mecque. Pour y parvenir, il unifia et mélangea les traditions ébionites aux coutumes arabes qui étaient païennes et proscrivaient la sorcellerie. Comme nous pouvons le voir, Mahomet ne rejeta pas le paganisme arabe en faveur d’un monothéisme se rapprochant du Christianisme et du Judaïsme. Mais il s’écarta de ces religions bien ancrées dans ces régions dans le but de retrouver certains principes moraux et religieux du paganisme. Ces derniers trouvaient leur expression la plus forte dans les cultes montagnards, de très vieux cultes qui nous renvoient au Néolithique et qui portent une grande attention aux sépultures des ancêtres et des héros, et qui croient en la réincarnation.

Bien sûr, l’histoire de la création du Coran a été modifiée, mais également celle de la diffusion de l’Islam. Il est hautement improbable que les sectateurs de cette religion, qui ne représentaient qu’un petit groupe de marchands et d’éleveurs de bétail de l’intérieur de la péninsule arabique, aient pu en 30 ans se développer jusqu’à contrôler un empire allant de la Tunisie à la Perse, puis en 50 ans de plus de l’Inde aux Pyrénées, menaçant même Byzance; sachant que de plus les tribus arabes ne formaient pas un bloc uni et que leur religion commune ne les empêchait pas d’être enchevêtrés dans des conflits sanglants. La guerre civile entre le dirigeant ommeyade Mo’awiya et les partisans de Ali et Hussein pour la succession (au VIIème siècle) aurait empêché toute tentative de fondation d’un empire arabe.

Il est plus vraisemblable, nous pouvons le supposer, que l’expansion de l’Islam se soit faite au travers d’une mission qui, en même temps que la foi, apporta une nouvelle langue commune. Il fut accepté dans des régions qui étaient partiellement juives et chrétiennes et qui avaient déjà été unifiées par l’empire sassanide en Asie et par l’empire romain en Afrique du Nord, ainsi que cela a été montré en détail dans la péninsule ibérique par le philosophe espagnol Ignacio Olagüe.

Lüling lui même situe les textes judéo-chrétiens mentionnés ci-dessus aux alentours de 500 AD, sans toucher à la chronologie de Mahomet et sans remettre en question celle qui est communément acceptée. Cependant, sa vision des origines de l’islam serait mieux comprise si l’on admet que la chronologie antérieure à 1500 AD n’est pas digne de confiance, et que la période séparant l’apparition du Christianisme et la fondation initiale de l’Islam ne devrait pas être mesurée en siècles, mais peut être en décennies.


Traduction française: Sylvain K.

Bibliographie:

Lüling, Günter: Über den Ur-Qur'an (Erlangen 1974)
Die Wiederentdeckung des Propheten Mohammed (1981).

Plus d'information sur Günter Lüling

09:39 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualita | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

dimanche, 26 août 2012

Existe t-il des "intellectuels musulmans" ?

COPIE COLLE D"UN ARTICLE PARU SUR  
http://www.enquete-debat.fr


3 août 2012, 10:56
Auteur : Jean 46 commentaires
 

On présente souvent Tariq Ramadan ou Malek Chebel comme des “intellectuels musulmans”. Or les deux auteurs musulmans les plus invités dans les médias en France n’ont quasiment écrit que sur l’islam. Peut-on encore les appeler “intellectuel”, alors qu’un intellectuel est en Occident celui qui réfléchit sur tous les sujets ? Tout cela n’en dit-il pas long sur la pauvreté intellectuelle dans l’islam et dans le monde musulman en général ?

32 livres, dont 31 sur l’islam. Voici le bilan impressionnant de Tariq Ramadan, principal “intellectuel musulman” à être médiatisé en France. L’Islam et le réveil arabe ; Mon intime conviction ; Islam, la réforme radicale, éthique et libération ; Muhammad, Vie du Prophète ; Mondialisation Résistances musulmanes ; Les musulmans d’occident et l’avenir de l’islam ; Jihâd, violence, guerre et paix en Islam ; Dar ash-shahada : L’Occident, espace du témoignage ; La foi, la Voie et la résistance ; Musulmans d’Occident : Construire et Contribuer ; De l’Islam ; Aux Sources du renouveau musulman – D’al-Afghâni à Hassan al-Bannâ, un siècle de réformisme islamique ; Entre l’Homme et son Cœur… ; Islam : Le face à face des civilisations – Quel projet pour quelle modernité ? ; L’islam en questions ; Ouvrage collectif, La spiritualité, un défi pour notre société – Convictions en dialogue et responsabilités communes ; L’Islam et les musulmans, grandeur et décadence ; Peut-on vivre avec l’Islam ? Le choc de la religion musulmane et des sociétés laïques et chrétiennes ; Être musulman européen : Étude des sources islamiques à la lumière du contexte européen ; Les Musulmans dans la laïcité : Responsabilités et droits des Musulmans dans les sociétés occidentales ; Le Coran : Nouvelle traduction française du sens de ses versets ; Traduction Le Saint Coran – Chapitre Amma avec la traduction en langue française du sens de ses versets (par Tariq Ramadan) et la translittération phonétique en caractères latins ; La Vie du dernier Prophète ; The Messenger ; Western Muslims And the Future of Islam ; Islam, the West, and Challenges of Modernity ; To Be a European Muslim ; Muslims in France ; In the Footsteps of the Prophet: Lessons from the Life of Muhammad ; Reformismo Musulman, El – Desde Sus Origenes.

Ce n’est guère mieux pour Malek Chebel, avec 36 ouvrages parus, et seulement 5 livres qui n’ont rien à voir avec l’islam. Le corps en Islam ; L’Esprit de sérail, mythes et pratiques sexuelles au Maghreb ; Histoire de la circoncision des origines à nos jours ; L’imaginaire arabo-musulman ; Dictionnaire des symboles musulmans ; Encyclopédie de l’amour en Islam. Érotisme, beauté et sexualité dans le monde arabe, en Perse et en Turquie ; Les symboles de l’Islam, ; Préface de Coran, Traduit par Edouard Montet ; Mahomet et l’Islam ; Le Sujet en Islam ; Islam et Libre arbitre, la tentation de l’insolence ; Dictionnaire amoureux de l’islam ; Manifeste pour un islam des lumières ; Préface de L’islam, passion française. Une anthologie ; L’islam et la raison, le combat des idées ; Le Kama sutra arabe, 2000 ans de littérature érotique en Orient ; Le Coran raconté aux enfants ; L’Islam expliqué ; Treize contes du Coran et de l’Islam ; L’esclavage en terre d’islam ; Ouvrage collectif Prières d’Islam. Ce que les hommes disent aux Dieux ; L’Islam pour les Nuls ; Sagesses d’Islam ; Coran (nouvelle traduction) ; Dictionnaire encyclopédique du Coran ; Les grandes figures de l’Islam ; Les Enfants d’Abraham. Un chrétien, un juif et un musulman dialoguent, avec Alain de La Morandais, Haïm Korsia ; Dictionnaire amoureux de l’Algérie.

Pourquoi n’appelle-t-on pas ces auteurs des imams, puisque leur travail consiste principalement à faire du prosélytisme de l’islam ? Malek Chebel est d’ailleurs membre de l’équipe des 3 représentants de religion, sur Direct 8, avec un rabbin et un prêtre…

Des hommes d’un seul livre : le Coran

Ce constat accablant de pseudo-intellectuels obsédés par l’islam en dit long sur ce qu’est l’islam, et sur la fermeture de l’esprit qu’il représente, y compris en Occident. Cette idéologie oblige ses adeptes à se concentrer sur un seul livre, le Coran, et à mettre de côté tous les autres, sauf s’ils traitent d’une manière ou d’une autre du Coran, de l’islam, des musulmans ou des pays musulmans, comme la double liste ci-dessus permet de le constater. Or les hommes d’un seul livre ne peuvent être que des fanatiques, d’ailleurs fanatique a d’abord signifié “Qui se croit inspiré par la Divinité” selon le Trésor informatisé de la langue française. La définition la plus moderne de fanatique est la suivante : “Qui est porté au fanatisme, qui adhère à une cause ou à une doctrine religieuse, politique ou philosophique avec une conviction absolue et irraisonnée et un zèle outré poussant à l’intolérance et pouvant entraîner des excès”. Tel est bien le cas de ceux qui se font appeler par des médias complaisants des “intellectuels musulmans”.

Un manque d’ouverture criant du monde musulman

Ce constat n’est pas propre aux deux personnalités citées. Dans le monde musulman, on ne trouve guère de livres qui parlent d’autre chose que d’islam, du Coran, ou des juifs (en mal bien sûr, comme le Coran d’ailleurs). Le protocole des sages de sion et Mein Kampf figurent parmi les meilleures ventes des pays musulmans, on les trouvait même récemment sur un salon du livre à Casablanca. Et bien que l’activité de traduction ait joué, dans le monde arabo-islamique au IXe siècle, un rôle fondamental dans la récupération des cultures grecques, persanes et indiennes par le monde arabe puis leur transmission, à partir du XIIIe siècle, à l’Occident, depuis la fermeture des portes de l’ijtihad le monde musulman vit replié sur lui-même, persuadé de détenir la vérité, et n’éprouve donc pas le besoin de lire des auteurs étrangers, sauf s’ils sont musulmans, antisémites ou négationnistes. On connaît la carrière des Garaudy et des Faurisson dans ces pays-là, L’effroyable imposture de Thierry Meyssan (qui vit en Syrie) ou Sarkozy, Israël et les Juifs de Paul-Eric Blanrue ont également connu leur traduction et leur succès en arabe.

Selon l’institut des informations scientifiques, l’ensemble des publications scientifiques publiées dans le monde entier s’élève, au cours des cinq dernières années, à 3.5 millions de recherches reparties comme suit :
- 37 % publiées par l’Union Européenne.
- 34 % par les États-Unis d’Amérique.
- 21 % par les Pays Asiatiques.
- 2,2 % par l’Inde.
- 1,3 % par Israël
- Entre 0 % et 0.03 % par chacun des pays arabes. (Il s’agit des plus mauvais résultats dans le monde) (!)

Par ailleurs l’ensemble des livres traduits dans le monde arabe est très bas. Il y a certes débat sur la question : certains prétendent que “La plupart des pays arabes n’ont pas retenu les leçons du passé et le champ de la traduction demeure chaotique. En termes de quantité, en dépit de l’augmentation du nombre de livres traduits dans le monde arabe de 175 par an dans la période 1970-1975 à 330, ce chiffre correspond au cinquième des traductions publiées en Grèce. Le total des livres traduits de l’époque d’Al-Ma’mûn à aujourd’hui s’élève à 10 000 – l’équivalent de ce que l’Espagne traduit en un an (Shawqi Galal, 1999, 87). Cette disparité s’est révélée dans la première moitié des années 1980 : dans ces cinq années, le nombre moyen de livres traduits par million d’habitants était de 4,4 dans le monde arabe (moins d’un livre par an et par million d’Arabes) quand il s’élevait à 519 en Hongrie et 920 en Espagne” (source : UNDP, Arab Human Development Report 2003, op. cit. , p. 67).

D’autres prétendent qu’il y a plus de traductions : “D’après mes calculs, l’ensemble des traductions arabes réalisées des années 1950 à aujourd’hui dans le cadre de politiques d’exportation (programmes de traduction étrangers) ou d’importation (programmes nationaux) représenterait au moins 8 000 titres, sur un nombre total de traductions que j’estime entre 20 000 et 25 000 titres, c’est-à-dire un gros tiers. C’est énorme, et révélateur du statut symbolique du livre en général et du livre traduit en particulier aux yeux des acteurs politiques et intellectuels tant nationaux qu’étrangers.” (source : Richard Jacquemond, cairn.info)

Même en retenant cette dernière option, cela reste très largement inférieur à ce qui se pratique en Occident, et comme le dit Richard Jacquemond c’est à prendre avec des pincettes : “Ainsi, sur les 498 notices pour l’Irak, on trouve 329 traductions en diverses langues de “livres” de Saddam Hussein“. Quiconque est déjà allé dans le monde arabo-musulman ne peut que constater ce fait : la plupart des livres occidentaux y sont introuvables, et pour cause, ils sont le plus souvent considérés comme “haram”, impurs, car ils traitent d’autre chose que d’islam et du Coran. Et ce ne sont pas les nouveaux régimes islamistes en Libye, en Egypte et en Tunisie qui vont améliorer les choses. Pourtant, ici en France, à l’Institut du monde arabe et dans toutes les plus grandes librairies, on trouve des centaines de milliers de références de livres musulmans, y compris les plus violents (sachant que le Coran est très violent et antisémite lui-même mais qu’il n’est pas interdit car c’est un livre sacré).

Conclusion

L’islam n’est pas prêt de se réformer si l’on s’en tient aux prédicateurs comme Chebel ou Ramadan qui sont régulièrement mis en avant dans nos plus grands médias, leur assurant ainsi un prosélytisme rémunéré de l’islam. L’islam ne fait certes pas de distinction entre le religieux et le politique, mais la société laïque que nous sommes est censée la faire, or nous continuerons longtemps, je le crains, de présenter ces imams déguisés comme des intellectuels, au même titre qu’un Raymond Aron ou même qu’un Jean-Paul Sartre, quoi qu’on pense des lubies communistes et robespierristes de ce dernier. Là nous avons affaire à autre chose, à des imams qui prêchent à des millions de personnes par télévision et radio interposée, de façon bien plus efficace que dans les mosquées (qu’ils fréquentent aussi beaucoup, je vous rassure). Nous ne voyons pourtant aucun rabbin ni aucun prêtre ou pasteur intervenir aussi souvent qu’eux sur les questions religieuses (sauf le dimanche matin dans les émissions religieuses ce qui est normal), de telle sorte qu’en terre longtemps chrétienne et désormais laïque, nous laissons l’islam seul ou presque pour faire du prosélytisme avec l’argent public. A part ça tout va bien madame la marquise.

00:13 Écrit par Bonnes Nouvelles dans F o r u m | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 21 août 2012

Rhétorique musulmane

bar-zing.blogspirit.jpgas Salam 'alaykoum,

"En imposant le pèlerinage (du mahométisme) à La Mecque (hajj) comme l'un de ses fondements, l’islam a élevé le voyage au rang d’un dogme religieux."

Le Pélerinage d'accord, mais où ? un lieu qu'il faudrait chercher dans le qour'an (Coran), non ?

C'est bizarre, mais de nombreuses études scientifiques prouveraient que la Mecque n'existait pas avant la venue du Prophète et que la ka'aba se situait au Sud-Est de ... Jérusalem

Aucune carte antérieure à l'islam ne mentionne la Mecque.
Même Ptolémé n'en fait pas mention !

La preuve en est aussi dans le Qour'an qui parle de Jérusalem :
vous savez : "a°l qouds, la mosquée la plus lointaine" et non pas de la citée de la Mecque dont le nom n'est JAMAIS cité.

Pire, dans le Qour'an il est question de "bakka bénie" que les musulmans se sont empressés d'assimiler à Makka.  Oui, mais pas de chance :
- en arabe, on ne peut pas confondre la lettre B et la lettre M
- bakka, est depuis plus de 2.000 ans, une vallée au Sud-Est de Jérusalem.

Alors la Mecque, centre de l'idéologie islamique, ça c'est possible ! Ce qui le sera moins, ce seront des réponses sensées et polies. wait & see.
chayR.

2.Posté par Shekna le 23/11/2009 18:41
Ce monsieur Chayr du post numéro 1 veut-il nous enseigner l'islam ? Voici encore un anti-musulman notoire qui avance caché derrière son masque de connaisseur du Coran.

Vous avez lu le Coran mon cher ça se voit. Mais on dirait que vous l'avez mieux compris que le Prophète (PSL). Lui n'a pas compris le Texte comme vous. C'est pourquoi, au lieu de Jéru, c'est à La Mecque que l'Envoyé de Dieu a fait ses pélerinages. C'est dans le même temple actuel de La Mecque qu'il s'est rendu, c'est aussi sur le même mont d'Arafat qu'il a tenu son dernier sermon! Le savez-vous cher polémiqueur sionniste qui croit que Jérusaleme est le centre de l'existence humaine?

Si nous musulmans allons à La Mecque pour répéter ces rituels anté islamiques, c'est parceque nous savons, comme le Prophète (PSL) nous l'a enseigné, que notre foi ne commence pas avec lui. Elle se pose et se structure avec son enseignement. Mais la croyance du musulman remonte jusqu'à Adam (PSL) et passe par Abraham (PSL) , Moïse (PSL), Jésus (PSL). Et le Hadj est un honneur à tous ces nobles humains que Dieu nous a envoyés pour nous guider.
Bien sûr les incultes tiennent des propos comme les vôtres. Ils croient que l'islam commence et finit avec le Prophète de l'Islam. Ce qui est une incurie que le Prophète (PSL) n'a jamais affirmé. Bien au contraire... Si vous avez lu le Coran attentivement, vous devriez le savoir. Mais comme vous semblez le lire avec des lunettes, il vous faudra d'abord changer vos lunettes.

Cher ami ShayR il faudra donc revoir vos classiques ou simplement vous montrer plus intelligent dans vos forfaitures Internet afin de ne trop dévoiler votre jeu. Parce que là, à parler du Hajj comme vous le faites, vous êtes tout simplement grotesque aux yeux de toutes personne qui a lu la vie du Prophète (PSL).


3.Posté par chayR le 24/11/2009 10:02 @Shekna :
Analyse de texte, ou comment répond le musulman à la critique et à l'appel à la réflexion :

1° [...Chayr...veut-il nous enseigner l'islam ?] : On prête une intention (niya) à l'internaute.

2° [qui avance caché derrière son masque de connaisseur du Coran] :
un fait positif : chayR connait le qour'an, merci beaucoup de l'avoir remarqué ! 
un fait négatif : si chayR s'intéresse au qour'an, c'est parce qu'il a de mauvaises intentions. Eh bien c'est bien sûr !

3° [Vous avez lu le Coran mon cher ça se voit.]
On notera comme une "légère irritation" : on s'irrite contre le scripteur ("mon cheré), car on aurait préféré débattre avec un ignorant. C'est tellement plus confortable !

4° [on dirait que vous l'avez mieux compris que le Prophète. Lui n'a pas compris le Texte comme vous. ]
- Premier erreur : qui a dit que j'avais mieux compris que le Prophète ? Ne serait-ce pas vous ?
- Deuxième erreur : qui prétend avoir aussi bien compris le Texte que le Prophète ? Ne serait- pas encore Vous ?
En effet, en prétendant que le Prophète a mieux compris le Texte que moi, c'est que vous prétendez comprendre ce qu'a compris le Prophète et vous vous placez donc au même niveau que lui ... Pourquoi pas ?

5° [cher polémiqueur sionniste] Prétendre que l'internaute est juif. Ce qui est de l'antisémisitisme, mais tout à fait inexact parce qu'infondé, et une tentative classique de se mettre tous les musulmans dans la poche : "c'est un affabulateur, normal c'est un juif !"

6° Qui rapporte les [rituels anté islamiques] ? Aucun historien, toutes les sources sont islamiques !

7° Qui dit que [la croyance du musulman remonte jusqu'à Adam] ? Personne, sauf les musulmans !

8° Qui s'approprie les prophètes [Abaham, Moïse, Jésus] des autres religions ? Personnes, sauf les musulmans !

9° le Coran que vous devriez relire aussi attentivement que moi-même qui l'ai translittéré et traduit,
ne parle ni "d'Allah", ni de "musulmans", ni de tout ce que vous débitez à longueur de journée.

- En effet le mot arabe "al lah" signifie en français "le Dieu". Allah n'est pas un nom ! rien ne peut nommer l'Absolu (as Samad). Le Dieu n'a pas 99+1 noms. Ces derniers sont Ses attibuts. Le Dieu est un vocable qui désigne Celui Qui n'est pas nomable. Les femmes et les hommes appartartiennent à la classe surpeuplée des "Humains". Le Dieu appartient à la classe où il n'y a qu'une seule entitée : Dieu. C'est pour cela que l'on place l'article al en arabe et que je place l'article français "le" devant Dieu. Car Dieu n'est pas "un dieu", mais "le Dieu". On doit écrire au singulier : le Dieu (Unique) et au pluriel : les dieux, des dieux, sans majuscule, ce qui est un blaphème, le seul blasphème.

- En effet le mot arabe "mou-SLiM' ne signifie pas "musulman", néolologisme récent de la langue française (XVII°siècle), mais vient de la racine arabe SLM (qui donne SaLaM, perfection = Paix + Sérénité) et signifie "Etre parfait". Un "mouslim" est un(e) "perfectionniste", "un être qui recherche la Perfection". un(e) "aspirant(e) à la Perfection". Qui le dit ? chayR ? Non, c'est le qour'an lui-même qui le révèle dans la sourate n°2 al baqarah v.71 en utilisant, à propos de la vache, l'adjectif mou-SaLaMat, sans défaut, parfaite.

En conclusion, l'ami [chayR] vous conseille, à son tour, d'abandonner vos classiques mortifères et de raisonner un peu par vous-même, si vous le pouvez... je sais, c'est difficile ! 

Si je viens écrire sur les pages de Saphirnews, ce n'est pas que je sois musulman, le Dieu m'en garde, mais pour donner aux musulmans une vision différente de celle que leur servent invariablement les "commandeurs des crédules" depuis 1400. En venant se frotter à la langue française, la doctrine islamique va se régénerer et retrouver son sens originel. Et si je ne suis pas "musulman", j'aspire à être un "hanif", un adepte, un pratiquant de la Parole du Dieu, et même si j'en suis encore très loin : un aspirant à la perfection à "l'image" de notre Créateur Qui Lui est Parfait.

                            ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

P.S. Pour reprendre votre expression, le vrai [grotesque aux yeux de toute personne qui a lu "la vie du Prophète"] c'est que l'idéologie de l'islam est celle du serpent qui se mord la queue :

- les musulmans tirent la vie du Prophète mouhammad en interprétant le qour'an à leur sauce et produisent une Sira.
- la Sira, quant à elle, se justifie en prétendant être issue du Qour'an. On n'en sort pas.
De plus aucune source non islamique ne confirme l'histoire musulmane à l'époque du Prophète.

chayR.


4.Posté par karimass le 24/11/2009 16:30
Au commentateur ci dessus qui a affirmé "Et si je ne suis pas "musulman", j'aspire à être un "hanif", un adepte, un pratiquant de la Parole du Dieu, et même si j'en suis encore très loin : un aspirant à la perfection à "l'image" de notre Créateur Qui Lui est Parfait. "
il faut qu'il soit conséquent et qu'il accepte qu'll est dans l'égarement manifeste avec de tels propos Il reconnait être très loin d'un pratiquant de la parole du Dieu tout en aspirant à la perfection, qualité exclusive de Dieu.
Il a une médiocre connaissance de l'histoire en insinuant que le prophète Mohamed(psl) n'est pas une personnalité historique Il doit revoir les manuels d'histoire rédigés par des non musulmans 


5.Posté par chayR le 24/11/2009 19:28 @karimass.
Le commentateur a un nom avec lequel il signe : chayR.
La politesse comme pour vos congénères, n'est pas un sentiment qui vous étouffe.

Mon rapport avec le Dieu ne concerne que moi et Lui et je n'ai pas à recevoir de conseil d'une personne qui ne pratique pas la Parole du Dieu, celle qui est contenue dans le Qour'an, mais les "dires" de bouRari (Boukhari) et de mouslim qui rapportent faussement ce que le prophète n'a jamais dit et n'a jamais demandé de rapporter, sinon, aurait-il fait inscrire ses nobles paroles et les aurait fait apprendre par coeur à l'instar du Qour'an.

Enfin, puisque vous jugez médiocre ma connaissance de l'histoire du Prophète Mouhammad ...
- que vous auriez l'obligeance de bien orthographier, car il n'y a pas de "e" en arabe, mais il y a une "chedda" sur le m, donc 2 m s'il vous plait -
... ayez la bonté de m'indiquer quelques bons historiens non musulman qui rapportent cette Sira.
chayR.

6.Posté par Shekna le 26/11/2009 19:01
Excellente analyse de mes propos. Un peu court mais bel effort quand même de votre part ! Bravo!!! :-) Vous voyez ? Il a suffit de vous pousser un tout petit peu dans vos rétranchements et vlaaaammm
Vous avez bien craché le morceau : vous êtes un anti-musulman notoire !! Là nous sommes d'accord.
Alors fichez nous la paix avec vos raisonnements débiles. Y'a pas un café près de chez vous pour tuer votre temps ? C'est bien fort prétentieux de ne pas nous laisser croire en paix !!! ? Etes vous seulement capable de nous laisser croire en paix ? Je ne crois pas ! vous êtes trop humain pour ça.
Polémiqueur à la petite semaine ! vous êtes sur le net comme un ivrogne dans une cave.
Voici maintenant que le vous écrivez des bêtises comme ceci : " Qui rapporte les [rituels anté islamiques] ? Aucun historien, sinon les musulmans ! " Là vous battez le record !!!
Vous qui semblez connaître TOUTE la littérature sur l'Arabie d'avant l'islam, est-ce bien la peine de vous recommander de bonnes lectures ? Ce serait comme donner du miel à un cochon. Laissez les historiens avec leur quêtes et lisez par vous-même les poêtes d'avant l'islam, vous comprendrez peut-être quelque chose.... Et supposons, comme en cours de philo, que les seuls à avoir rapporté la vie spirituelle anté islamique de l'Arabie sont "TOUS" musulmans, qu'en déduisez-vous ? Je suis d'avance mort de rire Franchement il y a du tout sur saphirnews... Mais au moins c'est drôle. C'est déjà ça !


7.Posté par chayR le 27/11/2009 09:49 @Snekna :

A part nous apporter la preuve de votre compte ouvert au C.C.P. :
Critiquer, Condamner et (vous) Plaindre,
vous n'apportez aucun élément de réponse à mes questions et ce pour 2 raisons :
- vous n'en avez aucun,
- vos amis islamiques n'en n'ont pas plus.
et ceci est la résultante d'une seule cause : il n'y en a pas d'autre source historique sur le proto islam que musulmane. Alors ricanez ou mourez de rire (pour de bon) ... où venez humblement prendre des cours...
à moins que drapée noblement dans votre ignorance, vous préfériez continuer à errer dans votre voie psittacciste. chayR.

[Dessin de YRAL, un musulman s'attaque à la Suisse]
Ces échanges de posts ont déjà été publié sur :
http://www.saphirnews.com/Le-congres-mondial-de-la-frater...

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lundi, 20 août 2012

Le guignol du jour

Fabius,OCI,laïcité,laicite,islam,franceVoila un ministre de la France, connu pour être de religion judaïque et qui insulte un chef d'état en titre [Bachar al Assad] et se permet "au nom de la laïcité" d'inviter pour fêter la fin du Ramadan, au Quai d'Orsay, siège du Ministère des Affaires Etrangères, des représentants d'une religion [l'islam] ainsi que des membres de l'O.C.I., l'association multinationale des pays qui ont décidé d'imposer la loi islamique, la chari'a, dans le monde. Bravo monsieur Fabulous (Laurent Fabius) !

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vendredi, 17 août 2012

Kaddish et Notre Père

Le Kaddish, prière juive des endeuillés


Le kaddish, prière juive traditionnelle dans la spiritualité et la liturgie du peuple d’Israël, évoque avant tout la sanctification du Nom divin. (kaddish, comme kadosh, saint)

Composée à l’époque où la Judée se trouve sous domination romaine, cette belle prière de louange est un véritable concentré de bible : elle est constituée de versets tirés des Psaumes, de Job, de Daniel, et particulièrement d’Ezekiel, qui dans sa vision annonce que la splendeur de D.ieu sera reconnue à la fin des temps par les nations.

Le kaddish est récité en communauté après la lecture de la Bible et le commentaire qui suit. On peut donc imaginer l’instant où Jésus l’a exprimé avec son groupe de disciples à la synagogue de Nazareth après avoir lu et expliqué le fameux passage d’Isaïe qui inaugure son engagement.

Précisément, la prière du Notre Père « Avinou shebashamayim » apprise ensuite par Jésus à ses disciples n’est qu’une variante à peine plus développée du kaddish.

Même s’il ne mentionne pas la mort, le kaddish est une prière souvent dite avec ferveur lors d’un dernier adieu ou d’une commémoration d’un défunt. La tradition juive considère que ceux qui récitent le kaddish avelim (kaddish des endeuillés) en répondant amen de toutes leurs forces, verront leurs fautes effacées, car c’est la royauté de D.ieu qui est ainsi proclamée. Près d’une tombe, on y ajoute une oraison affirmant la foi en la résurrection finale des morts et on espère ainsi alléger l’étape de purification que connaîtra le défunt pour s’approcher de D.ieu.

*Traduction française du Kaddish :

Magnifié et sanctifié soit le Grand Nom
dans le monde qu’il a créé selon sa volonté,
et puisse-t-il établir son règne, faire fleurir son salut,
et hâter le temps du messie,
de votre vivant et de vos jours
et des jours de toute la maison d’Israël,
dès que possible et dites : amen !

Puisse son Grand Nom être béni à jamais
et dans tous les temps des mondes,
béni et loué et glorifié et exalté,
et élevé et vénéré et élevé
et loué soit le Nom du Saint, béni soit-il,
au-dessus de toutes les bénédictions
et cantiques et louanges
proclamés dans le monde, et dites : amen !

Qu’une paix parfaite et une vie heureuse
nous soient accordées à nous et à tout Israël,
que celui qui fait régner l’harmonie dans les sphères célestes
l’étende parmi nous et dans tout Israël, et dites : amen !

Osse shalom bimromav, hou yaassé shalom aleinou,
veal kol Yisrael, ve imru, imru amen !

Au cours des célébrations chrétiennes de dernier adieu, la prière du Notre Père accompagne toujours le moment où l’assemblée confie le défunt à la miséricorde du Père.
Comme le kaddish, le Notre Père n’est pas en soi une prière pour les morts, mais une prière vers Dieu pour louer sa sainteté.
On peut considérer que Jésus, en l’apprenant à ses disciples, a voulu traduire et partager cette confiance au Dieu créateur et sauveur qu’il voulait honorer en donnant sa vie sur la croix romaine du Golgotha.
Ce reflet du visage de tendresse du Père devrait nous réconforter dans les moments où nous prenons congé de ceux et celles que nous aimons.

Reproduction autorisée et vivement encouragée,
avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info

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mercredi, 15 août 2012

Réfractaire à l'islam ?

726871394.jpgOn lit, on entend souvent ce barbarisme :

"islamophobie".

Forgé avec deux termes se référent à des domaines complètement différents :


1. islam : religion pour les uns, idéologie pour les autres ;


2. phobie : terme relevant du vocabulaire psychanalytique et exprimant une aversion irraisonnée ayant pour cause, une maladie mentale

1) L'islam n'est pas une religion, mais une idéologie criminelle
il suffit de prendre connaissance de la loi islamique : la chari'a

2) La peur de l'islam est non seulement raisonnée, mais aussi salutaire
pour toute personne qui veut connaître la réalité du but final des musulmans.

Est-ce que les personnes qui n'apprécient pas l'islam, cette pseudo spiritualité, sont des malades mentaux ?

Alors pourquoi pas dire "islamoréfractaire" ? Ce terme n'est pas plus valide que le précédent, mais plus exact ;

car si l'amour du genre humain se doit de bannir la haine envers les personnes de chair et de sang, il est utile et souvent nécessaire d'être critique envers les idées, les opinions et en guerre contre les idéologies criminelles comme celle de l'islam.

N'importe lecteur de plus de 7 ans comprend bien qu'il n'est pas humain de vouloir battre, flageller, lapider, égorger, exterminer ou mettre en esclavage la totalité des humains qui auront l'outrecuidance de ne pas se laisser conduire par un commandeur des croyants adepte de l'islam R.A.T.P. (Religion d'Amour, de Tolérance et de Paix).

[F] Qui aime bien, châtie bien - [GB] Who likes, punish well - [D] Wer mag gut, bestraft gut - [NL] Wie goed van houdt, kastitijdt goed - [I] Chi gradire, punisce bene - [SP] Quién gusta, castiga bien - [P] Quem gosta bem, pune bem.

[F] Je ne suis pas contre les musulmans. Je suis contre le mot "musulman" et je prétends, avec des preuves, que c'est un néologisme (un mot nouveau, récemment forgé) qui ne rend pas du tout le sens du mot arabe du qour'an : mouslim.

[GB] I am not against the muslims. I am against the word "muslim" and I claim, with real proof, that it's a neologism (a new word, recently forged) which does not return at all the direction of the Arab word of the qour'an : mouslim.

[D] Ich bin nicht "gegen die Moslems". Ich bin gegen das Wort "Moslem" und ich behaupte, mit Beweis, daß es ein Neologismus (ein kürzlich geschmiedetes neues Wort), der den Sinn des arabischen Wortes des Koran : mouslim, überhaupt nicht zurückgibt.

[NL] Ik ben niet tegen de moslims. Ik ben tegen het "moslim" woord. En ik beweer, met bewijzen, dit is een neologisme (een neologisme, onlangs gesmeed) dat de richting van het Arabische woord van geenszins qour'an teruggeeft : mouslim.

[I] Non sono contro i musulmani. Sono contro la parola "musulmana". E sostengo, con prova, questa é uno neologismo (una parola nuova, recentemente forgiata) che non rende per niente il senso della parola araba del qour'an : mouslim.

[SP] No estoy en contra de los musulmanes. Estoy en contra de la palabra "musulman" y pretendo, con prueba, esto es un neologismo (una nueva palabra, recientemente forjada) que no vuelve en absoluto el sentido de la palabra árabe del qour'an : mouslim.

[P] Não sou contra os muçulmanos. Sou contra a palavra "muçulmana". E pretendo, com provas, que isto é um neologismo (uma palavra nova, recentemente forjada) que não torna de forma alguma o sentido da palavra árabe do qour'an : mouslim.

[F] Le mouslim est celui qui s'en remet au Seul Dieu; il Lui est donc Soumis, il fait allégeance à son Seigneur, sans arrière pensée, pas comme les marocains qui font allégeance (bahi'a) à leur souverain, parce qu'ils ne peuvent faire autrement. Le mouslim est donc bien le Soumis au Dieu Unique.

[D] Der Moslem ist jenes, der sich nur dem Gott übergibt; er wird ihm also unterbreitet, er macht Treuepflicht an seinem Herrn ohne hinteren Teil Gedanke nicht als die Markokkaner, die Treuepflicht (bahi'a) an ihrem Fürsten machen, weil sie können nicht anders machen. Der Moslem ist sicher dem einzigen Gott vorgelegt

[F] Je peux apparaître comme un coupeur de cheveux en 4, mais il me semble impératif de faire cette distinction entre les "Soumis" (que j'écris avec une majuscule pour les différencier de la vulgaire et abjecte soumission) et les "musulmans" :

[D] Ich kann als ein in 4 Stücke Haarschneider erscheinen, aber er scheint mir überaus wichtig, diese Unterscheidung zwischen den "Vorlegte" zu machen; (das ich mit einem Großbuchstabe, um sie von der vulgären und verächtlichen Submission zu unterscheiden) und die "Moslem" :

[F] C'est l'une des clés de la réconciliation entre les croyants sincères (hanif) des 3 religions monothéistes. C'est aussi, la possibilité aux athées qui raisonnent leur athéisme, de regarder dans la direction d'un Dieu monopolisé à ce jour par des religions contradictoires et égoïstes. Ce n'est pas une mince affaire, mais le jeu en vaut la chandelle.

[D] Das ist ein der Schlüssel der Versöhnung zwischen, die aufrichtig Glaübiger (hanif), der 3 monotheist Religionen. Das ist auch die Möglichkeit für den Atheisten, die ihren Atheismus überlegen, in die Richtung des Gott anzuschauen, Der durch widersprüchliche und egoistische Religionen monopolisiert wurde. Dieses ist keine dünne Angelegenheit, aber davon die Kerze das Spiel wert ist.

[F] Les religions sont manifestement des facteurs de divisions et de haines. Si la presse de demain matin m'apprenait le décès des 3 religions monothéistes, je ne verserai pas une larme, mais, à titre de bonne oeuvre, je serai peut-être de ceux qui aideraient la masse des grands et petits rabbins, des papes et leur clique et même le commandeur des croyants et ses protégés à s'incrire sur la liste des demandeurs ... d'emploi.

[D] Die Religionen sind offensichtlich Faktoren von Divisionen und von Haß. Wenn die Morgenpresse den Tod der 3 Monotheisreligionen mir erkündigte, werde ich keine Träne schütten, aber als Gutes Werk würde ich vielleicht helfen die Masse der großen und kleine Rabbiner, die Päpsten und ihnen Leuten und sogar der von des Glaübiger Kommandeur und seinen Gechützten, sich auf der Liste der Antragsteller ... zum Arbeit zu melden.

[F] Pour en discuter, et comme je n'ai pas beaucoup de temps, ni la science infuse, j'ai créé au sein de mon blog, un Forum, ouvert aux gens honnêtes et sincères, pour qu'ils s'expriment en toute liberté et sans vulgarité.

[D] Um darüber zu reden und weil ich nicht soviel Zeit habe und noch die infuse Wissenschaft, habe ich um zu diskutieren innerhalb meinen Blog einen Forum geschafft, das für die ehrlichen und aufrichtigen Leute ausdrücken in aller Freiheit und ohne Gemeinheit geöffnet wurde.

[F] Forum : cliquer sur ce mot dans le cartouche [ Catégories ] dans la colonne de gauche ; ou prenez l'accès direct, sans passer par le blog : tapez dans votre navigateur http://207734.aceboard.net/
@bientôt, chayR.

[D] Forum: auf diesem Wort in der Patrone [ Catégories ] klicken (der Linke Kolonne);
oder nehmen Sie direktes Accès, ohne durch das Blog überzugehen : tippt in Ihrem Seefahrer http://207734.aceboard.net/
@ zum bald, chayR.

[Crédit dessin : Yral]

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lundi, 13 août 2012

Non à la charia !

daniel-pipes-v.jpgDes citoyens de l'Oklahoma
disent non à la charia
Source :
http://fr.danielpipes.org
Adaptation française :
Johan Bourlard

L’aspect de l’islam que les Américains avertis trouvent le plus discutable n’est pas d’ordre théologique (savoir par exemple si Allah est Dieu ou pas) ni symbolique (tel un centre islamique à Manhattan) mais bien juridique, à savoir le code de lois qu’on appelle la charia.

À juste titre, ils disent non à un droit qui place les musulmans au-dessus des non-musulmans, les hommes au-dessus des femmes et contient nombre d’éléments contraires à la vie moderne.

En juillet dernier, Newt Gingrich, ancien président de la Chambre des Représentants des États-Unis, a sensibilisé comme jamais l’opinion publique sur le danger de la charia en critiquant violemment ses « principes et châtiments totalement incompatibles avec le monde occidental » et en appelant au vote d’une loi fédérale qui « déclare qu’aucune cour dans tous les États-Unis ne peut en aucun cas substituer la charia à la loi américaine. »

Malgré quelques soubresauts dans ce sens, il n’existe aucune loi fédérale de ce genre. Cependant, le pouvoir législatif de deux États, le Tennessee et la Louisiane, ont récemment adopté des lois qui empêchent concrètement l’application de points de la charia qui violeraient les lois existantes et la politique publique. De plus, dans un referendum du 2 novembre, les électeurs de l’Oklahoma ont de même voté à 70 pour cent en faveur de l’amendement de la constitution de leur État.

Zuhdi Jasser, de l’AIFD, approuve.

Même s’il a été applaudi par des musulmans modérés comme Zuhdi Jasser, un passage de ce qu’on appelle « l’amendement Sauvez notre État » a alarmé les islamistes. Le Conseil aux relations islamo-américaines (CAIR), accusé à juste titre de tentative « de renversement de l’ordre constitutionnel aux États-Unis », a néanmoins convaincu un juge fédéral de district d’adresser une injonction à la commission électorale de l’État pour que celle-ci n’entérine pas l’amendement.

Une séance plénière pourrait encourager utilement un débat public autour de l’application de la charia. Dans cet esprit, examinons d’un peu plus près l’amendement qui vient d’être adopté en Oklahoma (State Question 755). Celui-ci impose aux cours et tribunaux de l’Oklahoma de se fonder exclusivement « sur le droit fédéral et celui de l’État pour juger d’une affaire » et à l’inverse, rejette « le droit international » en général et plus particulièrement « interdit aux cours et tribunaux de tenir compte ou de s’inspirer de la charia » qu’il définit comme la loi islamique « fondée sur deux sources principales, le Coran et l’enseignement de Mahomet. »

Les critiques que l’on entend le plus à propos de l’amendement qualifient celui-ci tantôt de discriminatoire, tantôt de superflu.

Discriminatoire ? Certes, alors que la formulation pose problème (le droit international ne peut pas être rejeté et la charia ne devrait pas être citée nommément), le « State Question 755 » insiste très justement sur le fait que les juges doivent motiver leurs décisions d’après le seul droit américain. Contrairement à la rumeur, l’amendement n’exclut pas la charia du système judiciaire : les musulmans peuvent en effet se laver, prier, boire, jouer, nager, courtiser, se marier, avoir des enfants, léguer leurs avoirs, etc., selon les principes de leur religion. Par conséquent, l’amendement ne cause aucun tort aux musulmans américains.

Muneer Awad, du CAIR, désapprouve.

Superflu ? Même si aucune étude ne nous renseigne sur le nombre de cas où les juges américains prennent leur décision en se fondant sur la charia, une enquête provisoire parle de 17 décisions de justice dans 11 États, dont la plus fameuse est peut-être le jugement intervenu dans le New Jersey au sujet d’un couple marié de musulmans originaires du Maroc. L’épouse a rapporté que son mari l’a forcée à plusieurs reprises à avoir des relations sexuelles parce que, disait-il, « c’est notre religion qui le dit. Tu es ma femme, je peux te faire ce que je veux. » En somme, le mari musulman en appelait à la charia pour pouvoir violer sa femme.

Le juge de première instance lui a donné raison : « Le tribunal estime qu’il a agi selon sa conviction, à savoir son désir en tant que mari d’avoir des relations sexuelles à sa convenance, que cette attitude était cohérente par rapport à ses pratiques et qu’elle n’était pas défendue. » Par conséquent, le juge a décidé en 2009 qu’il n’y avait pas de preuve d’agression sexuelle.

En juillet 2010, une juridiction d’appel a cassé ce jugement et déclaré que le mari « ayant pris part à des relations sexuelles non consenties, avait agi en parfaite connaissance de cause, indépendamment du fait qu’il pensait que sa religion l’autorisait à agir de la sorte. » Selon l’analyse plus incisive de Newt Gingrich, le juge de première instance n’était « pas disposé à appliquer le droit américain à quelqu’un qui de toute évidence maltraite quelqu’un d’autre. »

Vient alors immédiatement à l’esprit le cas alarmant de la Grande-Bretagne où deux des personnages éminents du pays, l’archevêque de Canterbury ainsi que le lord chief justice [président de la plus haute instance judiciaire britannique], sont d’avis d’accorder un rôle à la charia au côté du common law britannique, alors qu’un réseau de tribunaux de la charia est déjà opérationnel dans le pays.

Loin d’être discriminatoires ou superflues, les lois qui interdisent la charia sont essentielles à la préservation de l’ordre constitutionnel contre ce que Barack Obama a appelé les « odieuses idéologies de l’islam radical. » L’American Public Policy Alliance a élaboré un modèle de législation que les législateurs de l’Oklahoma et de 47 autres États devraient adopter.

المصنف الإنجليزي الأصلي: Oklahomans Say No to Sharia
ترجمة: د. سداد جواد ألتميمي

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vendredi, 10 août 2012

néologisme

NapoléonPesteJaffa.jpgIslam et musulman sont-ils des néologismes ?
c'est à dire des mots forgés récemment.

1 - le mot arabe mouslim (et non le mot français "islam" mot forgé en 1697) signifie en français : parfait [au DIEU Unique] et non pas soumis comme ont voulu nous le faire croire les musulmans

(voir la seule occurrence de ce mot dans le Coran/Sourate n°2 al baqarah  : moussalamat [une vache] parfaite, sans défaut.)

2 - "musulman" est un néologisme forgé sur le tard, soit en 1697 selon le dictionnaire Larousse.

3 - ni les mots "mouslim" (arabe), ni "parfait" (français) et encore moins "musulman" n'existaient à l'époque d'Abraham puisque ce dernier parlait l'hébreu et peut-être l'Araméen ?

4 - Abraham, Ismaël, Isaac, Moïse, et même Jésus étaient déjà à la recherche de la perfection à l'immitation de DIEU est parfait et non pas "musulmans" ce qui serait un anachronisme total.

5 - "islam" nom commun français, n'existe que depuis 1697.
Avant on disait le mahométisme ( parfois mahométanisme),
expression qu'employait encore, lors de son périple en Egypte
le jeune général Bonaparte en 1799.

6 - nul ne conteste que les mots a°l islam, a°l mouslimin et a°l mouslim existent en langue arabe.

Ce qui est contesté, c'est l'utilité, la nécessité, la pertinence d'avoir forgé les mots "islam" et "musulman" dans la langue française qui est assez riche de mots équivalents : Les mots perfection et parfait existaient déjà en français et rendent très correctement les termes coraniques.

En créant ces néologismes, les "traducteurs", peuvent-ils porter ce titre ? des moines de Maredsous ? ont volontairement cherché à nuire à la Parole du Dieu Unique exprimée par le qour'an, en voulant accréditer l'idée que ces nouvelles Ecritures (qour'an) différaient de l'enseignement de la Bible.

En déclarant les adeptes du qour'an "musulmans", ils ont créé une nouvelle caste de croyants, qu'il était ensuite facile de traiter d'infidèles. Diviser pour régner. Evidemment les émirs "musulmans" ont approuvé cette distinction qui faisait leurs affaires et ont retourné l'argument contre les chrétiens de l'époque. Heureusement, il y eut quelques célèbres exeptions que nous vous conterons ultérieurement.

Alors que si les "traducteurs" avaient choisi le mot parfait, (ou perfectionniste) les chrétiens et les adeptes de Mouhammad auraient pu dire en coeur :

Nous voulons être parfait comme le Dieu nous a demandé d'être parfait, de rechercher, d'aspirer à la perfection !

Ces néologismes sont comme des bombes à retardement qui aujourd'hui explosent à la figure des croyants sincères des autres religions monothéistes.

[Gravure : Napoléon visitant la "maison de la peste" à Jaffa.]

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mardi, 07 août 2012

Laisser croitre l'islam comme le nazisme ?

nazi,islam,marseille,shirer,bach,einstein,de gaulleDans toutes les sociétés il y a des individus qui ne cherchent pas la vérité et laissent les mauvaises façons de faire et d'agir s'établir. Le pire, c'est qu'ils ont derrière eux des foules sans personnalité qui les imitent et donc gâchent la vie de millions d'autres en donnant le mauvais exemple de l'inertie et de l'apathie la plus totale.

Voyez le cas d'Hitler [Voir photo], un exemple de génie du mal et un stratège hors pair comme l'a qualifié William L. Shirer, journaliste américain, auteur d'un épais volume sur le III° Reich et qui a vécu de près la barbarie nazie, avant sa prise de pouvoir, pendant son règne dictatorial et plus tard, en tant que témoin à charge au procés de Nüremberg.

Eh bien ce petit caporal autrichien, a rappelé W. L. Shirrer, a été élu démocratiquement, a été soutenu sans broncher par ce même peuple qui a produit des Bach, Goethe ou Einstein et a reçu les hommages d'une multitude de chefs d'états jusqu'à ceux de la France et les Etats Unis dans un premier temps.

Ce qui a fait dire au Général de Gaulle en visite à Marseille, lors des cérémonies de la Libération en 1945 : " Lors du récent passage de Philippe Pétain, le tout Marseille était réuni là où je me trouve actuellement à l'applaudir, comme ils le font présentement." Et d'ajouter avec son humour inimitable : "Je ne vois pas d'autre explication qu'un doublement de la population marseillaise ces 6 derniers mois."

Eh bien l'idéologie nazie qui se voulait millénaire n'est que de l'enfantillage à côté de celle réellement millénaire de l'islam qui avance de façon sournoise comme le rapelle notre hymne national "pour égorger nos fils et nos compagnes" dans un bain de sang auprès duquel le sinistre l'holocoste du malheureux peuple juif passera pour une tuerie de campus américain.

Non, je n'éxagère pas, car il suffit de relire la manière sanglante dont l'islam "religion de paix et d'altérité" comme l'a si bien rappelé notre ministre Manuel Walls, a écrasé, torturé tous ses opposants depuis que ce chamelier ou prétendu tel a chassé les juifs de Khaibar

Tout comme les fidèles  de l'islam vont expulser, réduire en esclavage et tuer après de savants supplices les chrétiens, athés, agnostiques, bouddhistes, et autres animistes comme c'est écrit noir sur blanc dans le Coran (al qour'an al karim) et surtout rappelé et odieusement détaillé dans ce fatras criminel que sont les hadiths (al hadiç) attribués à Mohamed (mouhammad).

Car il n'y a que deux alternatives :

Ou les musulmans sont des gens de parole et de fidélité aux dogmes de leur pseudo religion et il y aura de plus en plus de bains de sang dans le monde !

Ou les musulmans renient les hadiths et les versets criminels de leurs Ecritures et ce sera un réel espoir de paix pour ce même monde !

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lundi, 06 août 2012

Confusion entre état "laïque" et islam

isalm, france, abus, revolution, scandaleLettre à Manuel Valls après l’inauguration de la mosquée de Cergy

Monsieur le Ministre de l’Intérieur
Ministère de l’Intérieur
Place Beauvau 75008 Paris

Monsieur le Ministre,

J’ai pris connaissance de votre discours lors de l’inauguration de la mosquée de Cergy le 6 juillet dernier et j’en ai été profondément bouleversée et choquée.

Vous donnez immédiatement le ton en évoquant un acte qui n’est pas anodin. En effet, qu’un représentant de la République en principe garant de la Loi de 1905 interdisant la reconnaissance d’un culte inaugure un centre religieux ne peut en aucun cas être anodin.

Par cette allégeance à une idologie religieuse vous commettez donc un acte hors-la-loi, bel exemple venant d’en haut ! Si nos dirigeants eux-mêmes ne respectent pas les Lois [françaises], comment demander au peuple de les respecter ?

L’allusion à la formation de NOS imams, enfonce le clou. Depuis quand la France est-elle propriétaire des précheurs islamiques ?

Vous évoquez ensuite un dessein collectif, ayant impliqué dix associations représentatives de la diversité de Cergy. Qu’est-ce que la diversité M. Valls ? Ce sont des gens qui se distinguent de la population lambda, qui en refusent les codes, les régles, la culture, qui refusent de s’assimiler au peuple français comme vous-même vous êtes assimilé, et préférent s’en démarquer, s’en diversifier pour ne surtout pas vivre ensemble.

En acceptant ce système désagrégation diversitaire vous participez vous-même à une étrange forme d’apartheid qui ne dit pas son nom, comme si ces personnes issues de la diversité n’étaient moralement pas assimilables par nature. Cette désagrégation condescendante flirte étrangement avec un racisme diffus, présent comme une bienveillante discrimination positive (sic) alors qu’il n’est que le reflet du mépris accordé à des êtres jugés inférieurs.

Pourquoi ces personnes ont-elles besoin de se réunir en associations de la diversité si ce n’est pour s’opposer aux citoyens français ?

La Nation une et indivisible est-elle censé reconnaître et aider ces associations séparatistes ? Tout cela semble bien loin d’un dessein collectif.

Je note au passage que vous n’évoquez pas une consultation des habitants de Cergy eux-mêmes mis certainement devant le fait accompli.

"L’islam d’aujourd’hui est l’héritier de celui qui, pendant plusieurs siècles, à Cordoue, fut un accélrateur de connaissances, de culture et d’acceptation mutuelle." Vous plaisantez sans doute ?

L’islam s’est imposé partout par la force, par les razzias, par le sang, par les conversions forcées, par l’égorgement. L’esclavagisme arabo-musulman sur les blancs chrétiens a perduré durant plus de 1.000 ans. Plus de 1 000 ans Monsieur Valls… !! Vous rendez-vous compte ? Affirmer qu’il y a eu acceptation mutuelle et apport culturel est soit un pur mensonge, soit une grave ignorance de votre part.

C’est pourquoi affirmer que " l’Islam a toute sa place en France " relève de l’inconscience. Non Monsieur, l’islam n’a certainement pas sa place en France puisqu’il est contraire à la laïcité et à la démocratie.

Hassan II n’a-t-il pas avoué que "Un musulman ne peut pas être laïque " ? [NDLE : voir vidéo sur ce site]

De même, Amil Imani, essayiste d’origine iranienne en dit ceci : " la démocratie, c'est le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple, tandis que l’islam, c’est le règne d’Allah, par Allah et ses émissaires, pour le plaisir d’Allah.. […] " L’islam est une forme d’esclavage totalitaire globale.

C’est l’inverse de la liberté. Son nom lui-même, islam, signifie soumission ou reddition.

Fidèle à son nom, l’islam s’évertue à réduire le corps de l’humanité en esclavage et à asservir son esprit, rien de moins. Cette reddition non négociable à l’islam exige que les individus et la société renoncent à la plupart des libertés fondamentales auxquelles ils sont profondment attachés […]

La pratique de l’islam revient à perpétuer l’esclavage et à le pratiquer. L’esclavage asservit le corps, tandis que l’islam emprisonne l’esprit. Ces idées et ces pratiques sont odieuses et préjudiciables à la réalisation de nos plus hautes aspirations en tant qu’êtres humains.

Par conséquent, comment prétendre avoir avec ce dogme mortifère une quelconque culture commune ?

Quelle méconnaissance inexcusable ! Que faites-vous des Mohammed Merah, des assassins de Ghofrane, de Sohane, des deux policières, des violeurs de la place Tahrir, des lapideurs, des polygames, des exciseuses, des vieillards qui épousent des petites filles, des femmes qu’on oblige à se cacher sous leur voile noir pour montrer leur infériorité, des meurtriers de crimes d’honneur ? Ce même honneur "en ce vendredi de prières" auquel vous faites allusion pour justifier votre présence à Cergy. Oseriez-vous prétendre que cette multitude d’actes abominables et quotidiens n’ont rien à voir avec l’islam ?

Quand on pense qu’en 35 ans le nombre de mosquées a augment de 1.500%…

car on en dénombrait 150 en 1976, 900 en 1985 et 1 555 en 2001. En août 2011 les mosqués étaient au nombre de 2 368.

Une telle expansion d’un dogme sectaire si inamical, homophobe, antisémite, antidémocratique et sexiste est proprement effrayante !

Pour complaire à votre public vous évoquez une islamophobie condamnable ainsi que la nécessaire protection des lieux de culte musulmans et juifs. Naturellement vous omettez de mentionner les lieux chrétiens, comme si ces profanations-là n’avaient pas lieu d’être relevées.

Alors sachez que les  – tombes et églises – ont lieu… TOUS LES DEUX JOURS !!! Contre seulement 4 à 5 par an pour les deux autres ! Que dites-vous de cela Monsieur Valls ? Ainsi vous avez raison, tous les deux jours des individus portent à une attaque délibérée contre la République et ses valeurs, vous ne croyez donc pas si bien dire. Vous faites juste une légère erreur d’appréciation quant aux profanateurs dont vous semblez sous-entendre qu’ils seraient peut-être chrétiens, bouddhistes ou athés puisque non musulmans ou non juifs.

Mauvaise pioche. Il s’agit majoritairement d’individus appliquant à la lettre les beaux commandements islamiques . Ce ne sont donc pas les vilaines phrases islamophobes qui visent les musulmans mais au contraire certains musulmans qui visent physiquement les mécréants dont certains ont payé de leur vie.

Votre discours tente de rappeler les devoirs de l’islam et la neutralité de l’état vis-à-vis de la religion et de la laïcité qui préserverait l’école mais qu’en est-il dans les faits quand les accommodements déraisonnables sont de plus en plus frquents ? Et concernant l’obligation des agents publics de taire leurs croyances dans l’exercice de leur fonction, comment expliquez-vous que l’on tolère des salles de prières dans les facultés ? Des tapis de prières sur le lieu de travail y compris dans l’administration publique ?

 Que de plus en plus de chauffeurs de bus portent de d’étranges barbes salafistes ?

 Que le halal et le sans porc se soient imposés dans les écoles de la République ?

Que des bureaux de poste affichent des panneaux d’information en arabe ?

Que des lieux publics renoncent à la mixité pour accorder des horaires spéciaux aux femmes ?

Et quels devoirs ont VOS imams quand leur dieu leur ont donné le droit de vie et de mort sur quiconque ne se soumet pas au dogme islamiste ?

" Les incroyants, qu’ils aient le livre ou qu’ils ajoutent des dieux, iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours. Ce sont les pires des humains" . (98:6). Une religion d’amour, de paix, de tolérance… ou comme vous le dites " de tolérance, d’altérité et de solidarité ". Permettez-moi un grand clat de rire !!!

Je ris d’autant plus volontiers, Monsieur Valls, que j’étais assise en face de vous dans le préau de l’école où s’était tenu il y a deux ans le fameux débat sur la burqa organisé par Ni Putes Ni Soumises où vous étiez assis à côté de M. Brard. Nous savons tous les deux ce qui s’est passé ce soir-là,

les propos haineux et violents de ceux qui nous entouraient debout alors que nous étions assis pour mieux nous intimider, les insultes, les prêches, les menaces, la mauvaise foi, le refus de laisser parler Sihem Habchi, les coups et les bancs enfin qui ont volé mettant fin à cette calamiteuse et édifiante soirée avec la nécessaire intervention de la police. Alors prétendre que vous croyez sincèrement aux bienfaits de l’islam et à la bonhommie de ses fidèles… de grâce, pas à moi, Monsieur Valls !

Je suis d’autant plus peinée et déçue par votre attitude depuis un certain temps qu’elle s’éloigne de l’homme respectueux de nos valeurs que vous sembliez être.

Vous dites ensuite craindre l’insécurité des fidêles durant le mois du ramadan, redoutant sans doute des agressions islamophobes, pour ne pas dire racistes puisque c’est l’expression à la mode, et promettez de veiller à leur sécurité. Dois-je vous rappeler que ce sont généralement les musulmans qui ont coutume d’agresser les infidèles durant cette période et non le contraire ?

C’est bien pour cela que dans certains pays musulmans comme l’Algérie ou le Maroc, les jeûneurs sont invits à réfréner leur agressivité.

Donc si vous devez prendre des mesures sécuritaires je vous suggèrerais de veiller plutôt à ce que les enfants musulmans ne tabassent pas leurs petits camarades mécréants au centre de loisirs, 

à ce que les animateurs de ces centres veillent à se nourrir afin d’assurer en toute sécurité la prise en charge des enfants,

de même pour les chauffeurs de bus cités plus haut avec lesquels il conviendrait d’éviter les risques d’accidents. J’en profite pour faire allusion à ceux qui sous prétexte de jeûner en profitent pour travailler moins, obligeant leurs collègues non musulmans à travailler à leur place pour compenser, sans pour autant que leurs rétributions respectives n’en soient modifiées. Mais je présume que ceci ne vous concerne pas…

Pour ma part, en tant qu’agnostique mais ayant nanmoins droit à autant d’attention de votre part que les croyants (même si selon vous je serais moins élevée spirituellement…), j’apprécierais que vous veilliez autant sur ma sécurité que sur celle de vos nouveaux amis islamistes. 

Car moi aussi je suis française, républicaine et j’ai des droits.

Et pendant que j’y suis, je me permets une parenthèse pour vous faire savoir que mon supermarché est actuellement en plein ramadan et que par consquent, en tant que non musulmane me nourrir commence à devenir srieusement problématique. Donc si le gouvernement pouvait plancher sur l’ouverture de magasins spéciaux pour que les mécrants puissent continuer à s’alimenter sans avoir à payer un impôt à VOTRE imam, vous seriez bien aimable.

Je terminerai par votre phrase la plus grave et la plus dangereuse pour notre démocratie, pour la liberté d’expression et pour le droit acquis de haute lutte de critiquer les religions, quelles qu’elles soient :

"
Toute attaque contre une religion, contre un de ses fidèles ou un de ses lieux deculte est une attaque délibérée contre la République et ses valeurs
."

Vous venez par cette phrase malheureuse d’instaurer ni plus ni moins que le délit de blasphème, sapant encore un peu plus nos valeurs démocratiques et républicaines. Vous venez galement d’avouer que la religion s’inscrirait dorénavant dans la République, contredisant votre remarque sur l’importance de préserver la laïcité tout en rduisant é néant tout un pan de l’Histoire de France. 

La France fut jadis la fille ainée de l’église, grâce à vous et aux autres dhimmis dans votre genre elle est désormais devenue la putain de l’islam. Comme remerciement à un pays sans lequel vous ne seriez jamais devenu Ministre, on aurait pu espérer mieux. La France, Monsieur Valls, aurait mérité un peu plus de gratitude de votre part.

J’espère que vous prendrez acte de mes remarques et y répondrez de la manière qui convient.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, mes républicaines salutations. 

Caroline Alamachère.

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dimanche, 05 août 2012

Les chiens et l'islam

LevrierAfghan.jpgC'est bien connu, les musulmans n'aiment pas les chiens ; ce qui l'est moins (connu), c'est que les chiens le leur rendent bien.

Comment peut-on refouler un animal qui est une créature du Dieu Unique et donc un don de Sa part ?

Les musulmans se basent sur la masse des racontards de bouRari et de mouslim qui rapportent 200 ans après la mort du Prophète, que ce dernier n'aimait pas les chiens. Il est évident que leurs propos sont calomnieux, tant à l'égard de Mouhammad que des canidés.

Le meilleur "ami de l'homme" n'a pas usurpé ce titre, tant pour ses qualités de fidélité, que de serviteur de la race humaine. Les bergers comme le Prophète en son enfance, les chasseurs et les amis des bêtes" en savent quelque chose.

Les musulmans aiment à colporter l'idée que le chien ne doit pas entrer dans la maison, ce qui aurait pour effet d'en faire fuir les Anges. A part uriner malicieusement sur leur aubes immaculées, je ne vois pas ce que les médor(s) pourraient faire subir aux séraphins? En effet, le Dieu n'ayant pas doté nos Snoopy d'ailes, ils ne peuvent donc pas déféquer sur les angelots à l'instar des mouettes et autres cormorans qui marquent nos citées portuaires de leurs éclaboussements intempestifs, faisant mentir l'adage selon lequel "tout ce qui vient du ciel est béni".

Dans les pays musulmans, la vue d'un chien déclenche chez l'homo-musulmanus, un "réflexe de Pavlov" qui consiste en une suite de mouvements crispatifs de son visage, suivi d'autres, convulsifs, comme ceux de son brusque accroupissement au sol, destiné au ramassage du premier caillou venu ; et ceux de son bras qui s'empresse de jeter sur l'animal, le minéral transformé en projectile, comme s'il lui brulait les doigts.

En fait, cette haine des chiens leur vient de la nuit des temps, de l'époque des cavernes dont ils ne sont pas encore sortis pour la plupart. A cette époque lointaine, l'animal était sauvage et concurrençait l'homme dans sa recherche de nourriture, tout comme aujourd'hui encore, son cousin le renard, visiteur infatigable des poulaillers.

Caverne ? La sourate a°l kahf (n°18) est la seule qui parle d'un chien dans le qour'an (Coran). Et c'est pour louer ce brave animal qui garde l'entrée d'une la grotte où se sont réfugiés des croyants (chrétiens). Ils sont "endormis" depuis des centaines d'années en ces lieux où ils se sont réfugiés pour échapper aux persécutions du tyran local, protégés qu'ils sont par ce "Rex", placé en travers de l'entrée et prêt à montrer les crocs aux soldats de ce roi mécroyant.

Le mépris de cet animal leur vient aussi de l'esprit de la pensée dictatoriale de l'islam où tout doit être ordonné comme pour une revue des troupes ; et gare à ce qui dépasse ! La vache doit être dans son champ, le chien dans sa niche, la main gauche réservée au torchage des fesses ... et la femme sous son voile. L'ayatoul-lah Khomeiny ayant été en son temps "maître de balais" pour cadencer les faits et gestes du musulman perse. L'islam pense à tout, jusque au moindre geste. Pas question de manger avec la main gauche, celle du chayTan (le diable) !

Cette haine du chien est inculquée dès la plus jeune enfance et il suffit de voir l'air terrorisé d'un jeune musulman à la vue d'un chien déambulant dans une rue pour se convaincre du travail de sape de ses parents à l'égard de l'image de marque de notre compagnon à quatres pattes. Il en est des hommes comme des chiens : il faut se méfier de ceux que l'on ne connait pas, mais non pas les craindre. La peur est mauvaise conseillère et un déni de la bienveillance de notre Seigneur.

[Crédit dessin : Philippe Geluck, le génial créateur du "Chat", un personnage décalé mais philosophe. Un must de l'humour...]

 

00:05 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : chien, islam, maison, ablutions, chasse, gardien, troupeaux, coran, corane, courane, koran, quuran, kouraane | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

jeudi, 02 août 2012

Ode à Boukhari

sataninside.jpgLe qour'an se lit sans lunettes
Les hadiç(s) sont plein de sornettes

Le Dieu n'est pas une pipelette
L'islam est un serpent à sonnettes

BouRari* nous brise les burettes
On n'y croit plus depuis des lurettes

Ses récits feraient une murette
Alors on lui dit : stop ! Arrête !

Tu nous prends vraiment pour des bêtes
Du poisson, tu n'es que l'arête.

Aux ânes, cours leur conter fleurette
Car c'est sûr, là tu nous embêtes.

* Le romancier le plus prolifique en hadiç (hadiths),
soit les "dits" du Prophète Mouhammad.
C'est à dire, ce qu'il aurait dit.
Soit plus de 800.000 rapports.

Un peu de calcul mental :

800.000/23 (ans de révélation prophétique) = 34.782,61.
034.782,61/365 (Jours) = 95,30 hadiç(s) par jour
95,30/24 (heures) = 3,97 hadiç(s) par heure
Soit, comme une bonne horloge francomtoise,
un carillon tous les quarts d'heure !

00:05 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : al koran, al karim, el korane, el kerim, dieu, relevant, musulman | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook