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lundi, 06 décembre 2010

Ex musulmans ?

653139019.jpgQuestion : s/Yahoo Q/R

Pour les ex-musulmans -
je voulais savoir quelle était la raison qui vous a poussé à quitter l'islam.


Réponse : by Bonnes Nouvelles/chayR !

Salut !

Je connais plein d'ex-musulmans qui ont enfin compris que :

- le Dieu de la Torah, de l'Evangile et du qour'an est Le Même
- le Dieu demande aux humains, seulement d'être croyant à Lui.

Il n'est pas écrit dans la Bible, ni dans le Qour'an (Coran)
que l'on dûsse être juif, chrétien ou musulman.

Bon, c'est vrai que c'était marqué plus clairement dans le qour'an à §S.9/111 :

"wada°n 'alay-hi haqqa°n fî-t tawra°ti wa-l înji°li wa-l qour'ani
Une promesse de Sa part, dans la Torah, l'Evangile et le Coran."

Mais il n'est pas donné à tout le monde de lire l'arabe
ou d'avoir une traduction de bonne qualité.

De plus, cerise sur le gâteau, ceux qui ont quitté l'islam
ou tout autre religion pour se déclarer croyant au Dieu Unique
n'ont pas eu besoin de se convertir !

En effet, ils ont saisi que ce n'est pas l'humain
qui se convertit, mais que c'est le Dieu Qui nous appelle
et nous ouvre la voie. La conversion est une oeuvre du diable
et de plus, une parfaite illusion.

La conversion correspond au fait de se retourner
délors que l'on constate que l'on est sur un mauvais chemin. 

En ski, on se trouve parfois face à une piste sans issue :
on effectue une conversion, souvent acrobatique
et suivie d'une chute ; mais au bout du compte
on parviens à repartir en sens inverse
pour revenir à l'intersection où l'on s'est fourvoyé.

Changer de religion, c'est aller de Charybde en Scylla,
c'est quitter une illusion pour une autre, des rites abscons
pour d'autres qui paraitront aimables dans un premier temps,
puis tout aussi exécrables peu après.

Alors, pourquoi ne pas faire le tour du monde des religions,
à la manière des apprentis qui effectuaient le Tour de France
dans leur métiers respectifs afin d'apprendre d'un maître,
les techniques idoines de leur art ? 

Alors que n'allons-nous de l'islam au catholicisme,
au protestantisme, au mormonisme, à la croyance
des Témoins de Jéhovah et enfin, après un apprentissage
intensif de deux ans, à la religion judaïque ?

Le Dieu de la Torah, de l'Evangile
et de la Lecture Noble (al qour'an al karim)
réclame-t-il de notre part un tel chemin de croy-ance ?

Lui Qui dans Ses 3 Ecritures ne réclame que :
- notre amour inconditionnel pour Sa Personne
- une activité terrestre qui doit se matérialiser
sous la forme d'une saine rivalité entre nous,
sans violence ni haine, dans les seules bonnes actions.

[Photo, crédit X, d'un ex musulman mis au pas par son épouse
qui lui applique la chari'a à rebours : corvée de vaisselle
et port du voile, tandis qu'elle lit le journal ; ha ha !]

00:05 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : ex musulman, conversion, islam, thora, évangile, qour'an, koran | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

lundi, 13 septembre 2010

Conversion/religion

cff563f9123edf15f855554f98d5eefd.jpgQuestion sur Yahoo Q/R

Que pensez-vous de me convertir au judaïsme ?
C'est ma première invitation à la synagogue aujourd'hui par mon chéri, pour me marier avec lui, dois-je me convertir au judaïsme, car mon chéri est un juif Tunisien, il m'a demandé de me convertir à sa religion car une femme doit pratiquer la religion de son futur mari ;
j'attends vos conseils, merci et bon week-end.

Réponse

Que votre affirmation de mariage soit fausse ou vraie,
Que la poulette veuille se convertir à la croyance de son coq,
il n'en reste pas moins que se convertir à une religion
est toujours une absurdité :

1° Parce que la religion n'existe que dans l'imaginaire de l'homme.
Ce mot ne figure ni dans la Thora, ni dans l'Evangile, ni dans le qour'an qui parlent respectivement de :
- La Loi (signification de Thora, tawrat en arabe) pour les juifs.
- La Bonne Nouvelle (i°njil pour les arabes) pour les chrétiens.
- La Loi (a°d dîn), adhésion (hanif), teinture (SibRrah) pour les Parfaits.

2° Ce n'est pas parce qu'on se dit juif, chrétien, "musulman" qu'on l'est.
Peut-être que de réciter la chahada pour un Parfait selon le Dieu Unique, le fait passer pour "musulman" aux yeux de sa communauté, mais qu'en est-il aux yeux du Seul Dieu ? N'est-ce pas Lui Qui nous guide ou nous égare ?
Alors ne dites plus : je me suis converti à ...., mais je sens que le Dieu Unique m'a appelé à suivre Ses commandements et à oeuvrer dans des bonnes oeuvres.

Alors, si ton histoire est véridique (?), fait ce que tu veux, mais sache que si tu ne saisis pas l'importance des points 1° et 2° précités, ta conversion ne sera que l'expression d'une manifestation sociale vis à vis de la communauté dans laquelle tu prétends vouloir entrer.

Poême de Louis XXL

Non, la chahada n'est pas une sourate.
Elle est extraite, telle une belle agathe,
Des termes mêmes employés par le Coran,
Auquel le vrai croyant adhère fermement.

La Chahada est, de la Foi l'attestation ;
Prononcée par qui proclame sa Soummision 
Au Dieu et déclare adhérer au Coran.
Ce fait devant la communauté des croyants.

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dimanche, 12 septembre 2010

CONVERSION ?

72c8b6231ce5ef7ba14b50de35361c7c.jpgCONVER/SION /TIR

Extrait du dictionnaire encyclopédique de la Lecture noble de chayR.

Photo [Crédit X] : Le commandant Cousteau, la plus connue des célébrités qui ne s'est JAMAIS converti à l'islam. Peut-être le méga hoax islamique du XX° siècle.

Arabe :
1. a°l a°Htidâ, la conversion
2. a°l Haday, la conversion
3 a°t tahawwoul, la conversion - hawwala, convertir.
4. a°t tabadoul, la conversion - baddala

# Si vous ne faites pas d'étude de la langue arabe, il est inutile de retenir ces mots, parce qu'ils ne sont pas dans le qour'an.

Homme (Conversion de l') § S.80 - v.3/4 :
3.wa ma youdrîka la'alla-hou yazzakâ
et qui te dis qu'il* ne va pas se purifier,

4. a°w yazzakkarou fa-tanfa'a-hou-z zikrâ
ou se rappeler ? Alors lui profitera le Rappel.

*il : un aveugle dont le Prophète mouhammad s'est détourné et qu'il a voulu ignorer. Ici, le Dieu demande à Son prophète s'il pense que l'homme qu'Il compare à un aveugle ne va pas profiter de Son Rappel, le qour'an, Sa parole. Donc, pas une conversion de l'homme-aveugle, mais un retour à une vision claire des choses grâce à la Parole du Dieu. C'est donc bien Lui Qui nous appelle et non nous qui nous "convertissons". Nous faisons Retour au Dieu s'Il le veut.

Mission (de C...) ? § S.2 - v.272
laysa 'alay-ka Houda°-Houm
Ce n'[est] pas à toi [Mouhammad] de les guider
wa lakinna°-l laha yaHdî man yacha°ou
et assurèment le Dieu guide qui Il veut.

Exemple de traduction éronnée de ce verset sur le Net :
[Tu n'as pas pour mission (?), ô Prophète, de convertir (?)
les hommes ! C'est au Dieu que cette mission (?) incombe.]

Premiers "convertis" : par rapport au Prophète, ce sont : Radija, sa 1° épouse - 'ali, son neveu - a°bou bakr, son oncle - zayd i°bn Hariça, son "fils adoptif".

Prosélytisme § S.12 -v.103
wa ma° a°kçarou-l na°si
Mais ne [sont] pas, la plus part des gens,
wa law haraSta bi-moûminîna
(et) malgré que tu [mouhammad] désire ardemment, croyants.


Prix de la (c...) § S.12 - v.104
wa ma tasalou-Houm ‘alay-hi min a°jrin i°n Houwa
Et tu [Mouhammad] ne leur demandes aucun salaire pour cela.
i°lla° zikroun li-l ‘a°lamîna
Ce n’[est] qu’un Rappel* adressé aux Mondes.

* Rappel, autre nom du qour'an a°l karim, la Lecture noble.
# Percevoir de l'argent pour présenter le Rappel, c'est encaisser l'argent de son Auteur.
C'est donc bien la preuve que cette prétendue conversion, n'est, si elle devait exister, que le fait du Dieu Unique.
C'est pour cela que sur ce blog, vous ne trouverez pas l'expression : "il s'est converti" mais "il a répondu (positivement) à l'Appel (ou au Rappel) du Dieu". شَيْخ

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lundi, 17 mai 2010

Appel ou conversion ?

prince1.jpgCe que certains nomment "conversion", je préfère en parler comme de l'Appel du Dieu Qui a créé le ciel et la terre et ce qui est entre les deux : l'homme. Car c'est Lui Qui nous guide vers Son chemin. Et nul ne peut y cheminer sans qu'Il en ait décidé. On ne devrait pas dire "je me suis converti à..." mais "j'ai répondu à l'Appel du Dieu Unique".

Aussi, à la demande de nombreux croyants, je m'en vais vous conter l'histoire de ma rencontre avec la Loi révélée à mouhammad (pbsl).

Récit d'un Appel du Dieu :

C'était un mois d'août caniculaire, comme celà arrive souvent en région parisienne. Le soir, j'étais vendeur d'assurances et je venais de terminer ma tournée dans le 18° arrondissement de Paris. Je m'apprétais à rentrer au bureau. L'après midi avait été bonne et c'est la sacoche gonflée de plusieurs contrats que je m'acheminais vers le siège de la compagnie qui m'employait. La chaleur qui m'accablait depuis le début de ma tournée, me faisait envier ceux qui se prélassaient aux bord de la mer et se livraient aux joies de la plage. Je me disais qu'il suffirait que je passe au guichet de ma banque pour récupérer le solde de ma paye du mois précédent et qu'avec cette somme, même modeste, je pourrais partir quelques jours goûter aux charmes de la Côte d'Azur près de laquelle j'étais né 20 ans plus tôt. Mais le Dieu Qui sait tout en avait décidé autrement et me réservait une belle surprise.

Au moment même où j'avais terminé de formuler mon voeux, je me suis retrouvé nez à nez avec la porte de mon agence bancaire, pourtant distante de plus de quatre kilomètres de mon point de départ et dans la direction opposée à celle que j'aurai dû prendre pour remettre mes documents. Je pris alors conscience de la curiosité de la situation et entrais dans l'agence où je soldais quasiment mon compte. Puis pressé de rentrer chez moi, j'empruntais le métro pour regagner la chambre de bonne que j'occupais au dessus de l'appartement de mes parents. Là j'eu vite fait de récupérer un petit sac de voyage du modèle qu'utilisent les hotesses de l'air pour voyager léger : une carte d'identité, un tube de dentifrice et sa brosse, deux ou trois bricoles et je me retrouvais déjà à prendre une série de bus dont l'un me déposa sur une aire de stationnement de l'autoroute A6 en direction de Lyon.

J'étais toujours habillé en costume cravate et avais corsé l'étrange de la situation en emportant un parapluie écossais qui me donnait l'air d'un gentleman allant à la noce. Que j'allais à un mariage, c'est ce que cru le premier automobiliste qui m'emmena dans sa puissante voiture jusqu'au delà de Lyon. J'avais déjà voyagé en auto stop avec mon frère et je savais que le meilleur moyen d'aller vite, était de se faire déposer à une station service plutôt qu'à une sortie d'autoroute. Il est plus facile de discuter avec un conducteur dont le véhicule est à l'arrêt pour faire le plein que lorsqu'il roule à toute allure. C'est ainsi que de station en station, je me retrouvais à Toulon vers trois heures du matin.

J'ai marché des heures le long de la corniche en essayant de comprendre ce qui m'arrivait. Quand vers 6 heures du matin la 2CV camionnette d'un marchand d'oeufs m'embarqua à son bord, je n'en savais toujours pas plus sur le but de mon voyage. Ce joyeux chauffeur allait en Italie, je l'ai donc suivi dans sa tournée et de limousine en camions, de conduites intérieures en décapotables, voila que je me retrouve à la frontière d'un pays qui n'existe plus aujourd'hui : la Yougoslavie. La vie des Yougoslaves était difficile à cette époque, mais beaucoup plus libre que dans les autres pays "frères". Il se faisait tard et vu la modestie du prix des chemins de fer dans ce paradis du communisme, je me résolus à prendre le train qui me permit d'arriver directement en Grèce. J'étais en chemin depuis trois jours et trois nuits déjà, me nourissant peu et ne buvant que lorsque l'occasion m'en était donnée. Je vivais comme dans un rêve éveillé et je me pinçais souvent la joue pour vérifier que je ne dormais pas dans mon lit parisien. Mais non ! J'étais bien là, sur une route ensoleillée de la Grèce moderne quand un jeune iranien au volant d'une Peugeot flambant neuve me proposa chemin faisant de visiter l'Iran du Shah et plus particulièrement Téhéran où résidait son père qui l'attendait après 4 ans passée à étudier en France. Ce raid de près de 3.000 kilomètres m'enchantait. Voir la Perse, ses ors et ses splendeurs ! Qui aurait pu penser, trois jours plus tôt que j'allais découvrir ce pays lointain.

A l'aube du quatrième jour, nous arrivâmes vers les cinq heures du matin sur le plateau qui domine Istamboul et le Bosphore. Le soleil venait commençait à se lever et quelques rayons indisciplinés jaillissaient déjà entre les collines situées à l'Est, de l'autre côté de la Corne d'Or. Chaque trait de l'astre faisait étinceler de mille étincelles les coupoles et minarets de la grande ville. Puis un brasier flamboyant illumina l'air ambiant et ce fut une féérie de courts circuits qui fusaient en tous lieux. Ebahi devant un tel spectacle, je m'entendis dire à mon jeune compagnon : "Je suis arrivé chez moi, je ne vais pas plus loin !" Il fut évidemment incrédule au paroles de celui qui tout au long du voyage lui avait témoigné sa gratitude et son enthousiasme à l'idée de visiter son pays. Mais j'étais moi-même stupéfait des mots que je venais de prononcer, comme si celà avait été ceux d'un autre. Toujours est-il que je le quittais à l'embarcadère qui mène à la partie asiatique de la ville.

J'ai vécu sur mes réserves financières tout le mois d'août, voyageant à travers la Turquie en utilisant les lignes d'autocars qui relient toutes les villes entre elles. J'ai ainsi visité Antalya près de la frontière syrienne, Konya, l'ancienne Iconium, ville des derviches tourneurs et la capitale administrative Ankara. Le mois de septembre était déjà bien entamé quand je dus rentrer à Istamboul pour récupérer le passeport que j'avais commandé à l'ambassade de France, moi qui était parti avec une simple carte d'identité. Sur place j'appris que l'Office National d'Immigration recherchait un turc sachant parler français. En bon commercial qui avait appris à retomber comme un chat sur ses pattes, je compris qu'il y avait peut-être là une opportunité pour continuer à résider dans cette Turquie qui commençait à me plaire vraiment et dont j'étais tombé amoureux comme d'une femme. Je me présentait donc à l'O.N.I. et avec un aplomb qui m'étonne encore j'annoncais fièrement que j'étais un français qui parlait courament le turc. Au fonctionnaire ébahi, je récitais une phrase que j'avais apprise par coeur pour appuyer mes dire, qui commençait par : "çok bir kuz evlenmek istiyorum..." (je veux épouser une belle fille...). Quand il me demanda combien je croyais que j'allais gagner, je compris que l'emploi était pour moi.

Bombardé secrétaire du directeur des affaires commerciales, c'est à dire chargé de la bonne tenue des dossiers des candidats turcs, au départ vers la France de l'emploi : et oui, celà a existé ! L'ambiance des bureaux était-elle bon enfant ou est-ce moi qui magnifie mes souvenirs ? Toujours est-il que je me fis rapidement plein d'amis parmi les collaborateurs, tous turcs, de cette noble mission qui consistait à procurer un emploi aux ressortissants de ce pays et à satisfaire la demande des entreprises françaises, en ouvriers du bâtiment, de l'automobile et des forêts.

Parmi ces employés un jeune homme aimait bien m'expliquer que c'était en Turquie que l'on trouvait les plus belles maisons, voitures, femmes, activités intellectuelles et sportives. Evidemment, jeune français, fier à la limite de l'orgeuil de sa patrie à laquelle il venait de sacrifier une année, passée sous son drapeau tricolore, je me faisais un joie de le détromper de ses illusions nationalistes et de lui assèner les preuves irréfutables de mes affirmations de supériorité gauloise. Sa mine déconfite me réjouissait et n'appellait même pas de compassion de ma part.

Un jour pourtant, il me dit : "Tiens, je vais te montrer quelque chose dont je suis sûr que tu ne l'as pas en France. Le soir, le travail achevé, je le suivis avec le petit air goguenard de celui qui est sûr de son fait et je me retrouvais au sein de l'une des belles mosquées proches de l'avenue Istiklal.

J'y revins plusieurs soirs après la Prière à laquelle participait une grande assemblée disposée en rangs serrés. J'engageais alors de longues conversations sur la Loi révélée au Prophète mouhammad, avec un vieil imam auquel je ne devais pas tarder à réciter un jour l'attestation de foi au Dieu Unique, la chahada :

"a°chadou a°n la° i°laHa i°lla°-l lah,
j'atteste qu'il n'y a de Dieu qu'Allah",suivie de : 
"waRda-hou la° charîka lahi .
Il n'y a pas d'associés au Dieu".

Il me recommanda d'adopter un nouveau prénom : chayR (indûment francisé en "Cheikh" et prononcé par les arabes, selon les pays : [chaîr] ou [chîr].
J'avais répondu à l'appel du Seul Dieu et m'étais joint à la commnauté des Soumis (mouslim en arabe, "musulman" en néo-français). Amin.

Si ce récit vous inspire un commentaire, n'hésitez pas à l'écrire ci-dessous, car quel qu'en soit la teneur, il sera toujours perçu comme un bienfait et une douceur dans ce monde de brutes, de mécroyants et de semeurs de désordres.

00:15 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : dieu, appel, conversion, coran, bible, foi, jésus | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook