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lundi, 05 avril 2010

France - islam ?

9efe617a105ff99760468981f41fd659.jpgISLAM EN FRANCE
Omaraman a écrit sur Yahoo Q/R :
[Nos commentaires sont entre crochets et commençent par un #]

"Le fait de vivre avec les Kouffars* dans leur pays est en contradiction avec les preuves du Coran et de la Sounnah que nous avons mentionné et voici quelques conséquences négatives du fait de vivre parmi les Kouffars."

[#*kouffar: néologisme créé avec le verbe arabe kafara : nier. Les kouffars seraient les personnes qui nieraient le Dieu, le qour'an, le Prophète, l'islam... En général, les occidentaux, c'est à dire les "non musulmans" sont désignés par les musulmans par le terme de "kouffars". Autant dire que nous refusons catégoriquement ce terme de kouffar. Mais ils l'ont forgé, alors faisons avec !]

"Vivre avec les kouffars implique :

1- Développer de l’amour et une Walaa pour les Kouffars. [selon Omaran et ses pôtes, l'amour du prochain est semble prohibé en "islam"].

2- Transiger et faire des compromis au sujet de la religion en laissant tomber des aspects obligatoires de l’islam pour faire plaisir aux kouffars.

3- Etre témoin des péchés et des choses interdites par l’islam, au point qu’elles deviennent tout à fait naturelle et normales pour une personne. Cela représente une contradiction avec la foi, car le prophète a dit : «Quiconque d’entre vous voit un mal, qu’il le change avec sa main. S’il ne peut pas, avec sa langue. S’il ne peut pas, qu’il le change avec son coeur et c’est le minimum de la foi.» Donc pour il est devenu normal de voir le Koufr [# mécréance], le Shirk [# association au Dieu Unqiue], le Zina [# le péché], l’alcool, les femmes sans Jilbaab [# voile], les gens qui insultent et se moquent de la religion, alors où est la foi ?

4- Demander de l’argent aux Kouffars. Demander en islam est très mal vu, même entre musulman, sauf en cas de nécessité. Alors que dire des musulmans qui vivent chez les Kouffars et qui se rabaissent devant eux en leur demandant de l’argent. Beaucoup de musulmans prennent du BS [# ?], et toutes sortes d’allocations de la part des Kouffars et ils deviennent dépendants de cet argent par la suite, alors ils ne pensent plus à partir vivre avec les musulmans. Car les pays musulmans ne donnent pas de BS, ni d’allocations ou de chômage. Mais les Kouffars ne donnent pas d’argent par générosité. Comment ce qu’ils donnent pourrait-il être de la générosité, alors que ce qu’ils donnent ne leur appartient pas. Ils ne font que donner aux gens une partie de ce qu’ils leur prennent en taxes et impôts ! Ils jouent très mal à Robin des Bois !

5- Imiter les Kouffars dans leur façon de s’habiller et de vivre.

6- Difficulté de trouver un travail, même pour les gens hautement diplômé. Sans mentionner la difficulté de trouver un travail Halaal [# lire ; autorisé par la chari'a]. La plupart des emplois disponibles comportent beaucoup de pratiques totalement Haraam |# lire : interdites] dans l’islam. Comme de vendre ce qui est Haraam [# = interdit, comme l'alcool]. La mixité entre homme et femme. Le Ribaa [# le prêt à intérêt, alors que le qour'an ne condamne que l'usure.]. L’interdiction de la barbe [# le port de la barbe serait-il prihibé en France ?], difficulté de faire la prière obligatoire à l’heure, difficulté de s’absenter pour la prière de Joumou’ah [# prière du Vendredi] etc. L’interdiction de faire le Adhaan dehors [# l'appel à la prière, du haut du minaret ou au mégaphone ; actuellement éffectué à l'intérieur de la salle de prière.]

7- Lors des fêtes du sacrifice, on ne peut pas sacrifier ailleurs qu’à l’abattoir. Si on le fait à la maison [# lire : dans la baignoire], on reçoit une amende etc.

8- La difficulté de s’entendre sur le commencement et la fin du mois de ramadan [# problème srtictement musulmano-musulman !].

9- La négligence de plusieurs musulmans lors des fêtes de Eid [# lire : 'aïd] , car les Kouffars ne ferment pas [ # les entreprises et les écoles] lors de nos jours de fêtes. Le musulman doit présenter une lettre de motivation pour s’absenter de son travail ou de son école.

10- Le musulman est obliger de cesser de travailler lors des fêtes des Kouffars. Il est obliger de respecter leurs jours de célébration.

11- Les musulmans doivent envoyés leurs enfants dans les écoles des Kouffars, alors que ce sont des endroits où on enseigne le Koufr [# = la "mécréance"] et les idées de Koufr et d’égarement et la perversité. Les enfants commencent à parler et à penser comme les enfants des Kouffars.

12- Dans certain pays (comme en France) les musulmanes sont forcées d’enlever leur Hijab pour aller à l’école et doivent étudier dans des écoles mixtes.

13- La difficulté de manger que du Halaal. [# lire : la difficulté de ne pas manger que du hallal - sauf dans les Quick 100% hallal ; voir article sur ce blog : 100% hallal ?]

14- Les cours de philosophie (au collège), de musique ou de natation au secondaire qui sont des cours obligatoires pour les enfants, ce qui est interdit en Islam."

* * * * * * * * *

[# Que vient faire dans notre blog, ce texte dont chaque expression hérisse notre sensibilité de Soumis au Dieu Unique ?

Nons dénonçons, à la fois :
l'islam en France,
l'islam de France,
l'islam des élites,
l'islam des banlieux,
l'islam des rebeux,
l'islam des islamistes,
l'islam des cours d'écoles,
l'islam des prisons,
bref, vous l'avez compris, l'islam tout court.

Selon les tenants de ces officines de l'islam, le qour'an, Parole du Dieu, serait principalement véhiculée par les musulmans.
Or il n'en est rien !

Ceux-ci ont des conceptions souvent très erronées du texte coranique et préfèrent s'en remettre aux affirmations des 'ouléma, fiq et autres mufti en ce qui concerne leur compréhension de la Loi (a°d dîn) du Dieu Unique que je n'appelle que rarement Allah pour la raison simple que ce mot se traduit aisément par : le (a°l) Dieu (lah) en français et que le français est, n'en déplaise à mes cousins anglo-saxons, la langue d'excellence du monde diplomatique, des arts et des lettres. L'anglais n'étant que celle des affaires, du business.
La base de leur "science" sont les inombrables hadiç (hadiths) et les chari'a (loi soit disant coranique, différentes selon les pays.)

Notre objectif : établir les bases solides, en français, de notre compréhension du qour'an, de notre Foi au Dieu et de notre attitude, tant vis à vis des non croyants, des croyants égarés sur des chemins de traverse, des musulmans qui confondent croyance et Foi avec superstition et égarement.

Sourate l'Ouverture : je me souviens avec un amusement mêlé d'irritation, de l'explication que m'avait jadis fournie un imam, au sujet du dernier verset de la sourate l'Ouverture a°l fa°tihat, la première du qour'an. Il m'expliquait doctement que les "ceux qui avaient encourus la colère [du Dieu] - maRDoûbi 'alay-him" étaient les juifs, alors que les "égarés, a°d Da°llïn" étaient les chrétiens. Ce digne représentant de la caste des religieux islamiques n'avait sûrement pas lu monsieur de la Fontaine et sa Fable où il évoque cette fameuse poutre que l'on croit voir logée dans l'oeil du voisin, tandis que l'on ne s'attribue à soi-même que la gêne d'une modeste paille.

00:05 Écrit par Bonnes Nouvelles dans Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : musulman, din, charia, sounna, sunna, islam de france, islam en france | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

Hello BN,

Juste une petite rectification : La paille et la poutre, c'est une parabole de Jésus, pas de La Fontaine (Qu'Il Soit Fabulisé)

Signé : Une lafontainiste militante

P.S : je profite de l'occasion pour te saluer et te dire que j'aime beaucoup ton blog :-)

Écrit par : Alouette | mercredi, 20 février 2008

Salut Alouette, tu as raison. Je suis même en train de me demander si notre cher de la Fontaine a bien écrit cela dans une de ses Fables. Celà lui ressemble beaucoup, mais maintenant que tu rappelles les droits d'auteurs imprescriptibles de Jésus, j'en suis moins sûr. Pour ce qui est de l'appréciation de mon blog, merci et n'hésite pas à le faire connaître.

Écrit par : chayR abou riyaD | mercredi, 20 février 2008

Salam,
Comme vous vous en doutez, je ne réagirai pas du tout comme vous aux propos de Omaraman. Si cela ne m'apparait toujours pas pertinent de "dénoncer (...) l'islam tout court", je ne peux pas ne pas réagir... j'ai justement eu le plaisir d'entendre Yahya Michot ce samedi : "Liberté religieuse et responsabilité". Voici la trame de son propos :

Sa conférence suivait merveilleusement le titre, c'est-à-dire qu’elle s’articulait en deux parties : une première quant à la liberté religieuse – mise à mal dans nos contrées –, une deuxième quant à la responsabilité – des musulmans face à cette situation.

1) La liberté religieuse
Michot a fait brièvement le constat de cette liberté religieuse mise à mal. Il fait à cet égard deux remarques :
Tout d’abord, il évoque la conjoncture économique et politique – l’Islam servant de bouc émissaire, les débats sur ces questions permettant de cacher les problèmes.
D’autre part, il remarque que cette mauvaise posture de l’Islam en Europe n’est pas nouvelle (réf. à la situation en Espagne au XVIe siècle…).

2) Responsabilités
Le professeur a ensuite enchaîné sur les responsabilités de musulmans qu’il invite à « travailler en synergie » avec les autres – les non-musulmans. Il accentue à cet égard l’importance de la kibla – direction qu’il s’agit de garder (dans vie comme dans la prière) et qui rend possible les modulations tout en gardant justement cette direction. Il incite également à « méditer les choses » (« tadabur » ( ?)) afin de prendre en compte tous les paramètres.
(...)
Evoquant, en référence à Ibn Tamiya, Joseph à la tête de la trésorerie dans un pays mécréant, il montre l’importance de s’investir dans le pays où l’on vit et de contribuer ainsi à plus de justice et de bien-être.
Il revient sur les modulations qui peuvent être nécessaires pour un plus grand bien, modulations délibérées en pratiquant cette méditation sur les choses et toujours opérées en maintenant la kibla. A cet égard, la pureté de l’intention est décisive.

Evidemment, c'était pour moi un immense bonheur (comme à d'autres conférences) de découvrir des analyses, prises de positions, etc., pertinentes au sein même de l'islam.

Bonne journée à tous.

Écrit par : Amandine | lundi, 05 avril 2010

as Salam,
Je ne vois pas ce que viens faire le discours de Jean (Yahya) Michot qui est un "islamologue" belge dans un article sur l'islam vu par le sieur Omaraman lequel le dispute à Jean Michot, dans sa haine de l'occident et dans son refus des européens et de toutes les valeurs qu'ils véhiculent.
De plus ce monsieur est un SALOPARD : oui rien que ça !
En effet comment qualifier un européen qui approuve de façon véhémente l'assassinat des moines de Tibhirine en Algérie, alors que les musulmans ont fait consensus (hijma) pour dénoncer ces assassinats odieux.

Article à lire pour en savoir + :

Jean Yahya Michot et la littérature politique du G.I.A.
(dans Collectanea cisterciensia, 62 (2000), 78-80)

Jean Yahya Michot était professeur à l'Université Catholique de Louvain au moment de la publication du volume recensé par le Père Louis Wehhé. Cette publication fut suivie pour lui d'un congé sabbatique qui se termina par une séparation négociée de l'Université de Louvain. Par la suite, il fut engagé au Centre d'études islamiques d'Oxford (qui ne fait pas partie de l'Université d'Oxford mais lui est affilié). Cet engagement qui suscita un débat animé en Angleterre amena l'auteur à déclarer oralement et par écrit qu'il n'approuvait pas le meurtre et la violence ce qui était loin d'être évident dans l'écrit ici recensé.

La compétence de Michot et sa connaissance approfondie du grand penseur que fut Ibn Taymiyya ne font pas de doute. Beaucoup de choses surprennent cependant chez un académicien de si haut calibre. Ce qui intrigue ce n'est pas seulement le fait de publier son pamphlet sous le pseudonyme de «Nasreddin Lebatelier»; cela relevant plutôt de la coquetterie, puisque l'identité de l'auteur était dès le premier instant un secret de polichinelle. Ce qui surprend, c'est plutôt le fait qu'un grand islamologue, dans le contexte de la traduction d'un texte classique de l'islam, cite tout ce qui a pu se publier en Europe sur les moines de Tibhirine dans les mois qui ont suivi leur assassinat, fût-ce dans la plus obscure des feuilles diocésaines. On se serait attendu qu'une information si minutieuse intéresse les services secr

Écrit par : chayR | lundi, 05 avril 2010

On se serait attendu qu'une information si minutieuse intéresse les services secrets plus que les islamologues. Mais peut-être convient-il de replacer cette contribution dans le contexte plus général de l'islam belge.

Dans un volume intitulé précisément Facettes de l'islam belge, et publié peu avant l'ouvrage de Michot, le professeur Felice Dassetto avait rassemblé plusieurs contributions nous aidant à comprendre la vie de l'islam en Europe et spécialement en Belgique [1] . On y trouve en particulier deux études du professeur Alain Grignard de l'Université Libre de Bruxelles, dont l'une porte sur la littérature politique du G.1.A. algérien ayant circulé en Belgique [2] . Selon Grignard les fameux messages bien connus du G.I.A. sont rédigés «en arabe littéraire, dans une langue souvent teintée d'archaïsmes et envahis par de longues paraphrases du discours coranique». Comme tels, continue Grignard, ils sont inaccessibles à la majorité des immigrés maghrébins et semblent même susceptibles de rebuter l'Algérien moyen. Il mentionne ingénument l'opinion de certains selon qui «ces textes n'auraient été élaborés qu'à l'usage des islamologues et des services de renseignements...». De plus leur contenu religieux paraît bien secondaire par rapport au politique (p. 76).

On peut se demander pourquoi Michot défend avec une telle vigueur la motivation religieuse de l'assassinat des moines de Tibhirine au moment même où le professeur Grignard concluait son étude sur la littérature du G.I.A. par la phrase suivante: «(Cette analyse) nous a ... permis d'apporter quelques jalons dans l'histoire des Groupes Islamistes Armés algériens et de les envisager dans une autre perspective. Ne pourraient-ils pas, en effet, n'être que l'exacerbation outrancière d'un mouvement révolutionnaire tiers-mondiste où le fait religieux se situerait plus en aval qu'en amont?» (p. 88).

Contrairement à l'argumentation fougueuse mais non convaincante de Michot, Anna Bozzo, professeur d'études islamiques à l'Université de Rome, a démontré comment l'unanimité avec laquelle de nombreuses personnalités et organisations religieuses musulmanes en Algérie et à travers le monde ont condamné l'enlèvement et l'assassinat des moines de Tibhirine, constitue un rare cas d'ijma' (consensus) ou d'ittifaq (entente) dans le monde musulman [3] .
Beaucoup de questions restent ouvertes: Comment un illettré comme Djamal Zitouni a-t-il pu composer les communiqués qui lui sont attribués? Où ces textes furent-ils composés? Comment expliquer que ce même Zitouni, qui apparaît en 1994 après la mort de l'émir Attia (qui s'était rendu au monastère dans la nuit de Noël 1993 et avait garanti la vie sauve aux moines), soit éliminé tout juste après l'assassinat des moines de Tibhirine et la publication du «message» annonçant leur exécution? On sait qu'au moment où Zitouni apparaît, le G.I.A. est totalement éclaté et infiltré par des forces externes, et les doutes se multiplient concernant l'origine, l'identité et la sincérité religieuse de ses membres. Seule une enquête approfondie, qui prenne en compte, entre bien d'autres choses, l'ensemble de la production littéraire des groupes islamistes et de leurs sympathisants pourra aider à résoudre les nombreuses questions non encore éclaircies concernant les circonstances dans lesquelles les moines de Tibhirine furent enlevés et exécutés.

Abbaye N.-D. de Scourmont, Belgique FORGES
Dom Armand VEILLEUX, ocso, abbé.

Écrit par : chayR | lundi, 05 avril 2010

Salam,
Le rapport c'est simplement l'idée de cohabitation, d'action en commun et même de bienveillance envers ces fameux "koufars".
Quant à la personne de Michot, je ne prendrai pas position, je ne connais pas les tenants et aboutissants. Ce que j'en connais - cette conférence - était tout à fait intéressante. Autrement dit, je trouve intéressant la réflexion qui a été exposée. Je m'abstiens, suspends mon jugement, quant au reste de ce qui le concerne.
Par contre, un autre nom m'est familier dans tout votre exposé : Dassetto, je prévois le voir en conférence très prochainement.
Bonne fin de journée.

Écrit par : Amandine | mercredi, 07 avril 2010

"14- Les cours de philosophie (au collège), de musique ou de natation au secondaire qui sont des cours obligatoires pour les enfants, ce qui est interdit en Islam."

Y'a des musulmans qui sont même contre les cours de philosophie???
C'est pire que ce que j'imaginais...

Par contre, il faudra m'expliquer ce que cette photo (avec le panneau de signalisation) sous-entend...

Écrit par : Starf | jeudi, 08 avril 2010

@Starf, ah ben oui, il y en a qui pensent que la philosophie c'est "haram". Ben oui "en se posant des questions on risque d'arriver à ne plus croire en Dieu" (dans une conversation, sic!). C'est dire comme leur foi est solide... pour avoir peur des questions ;-).

Écrit par : Amandine | vendredi, 09 avril 2010

Merci pour les insultes. Avant de condamner un écrit et son auteur, il serait peut-être plus sérieux de le lire soi-même que de recopier verbatim des bondieuseries insidieuses.

Le « salopard »

Écrit par : Yahya Michot | lundi, 04 octobre 2010

Eh bien si vous n'avez pas :

"approuvé de façon véhémente l'assassinat des moines de Tibhirine en Algérie, alors que les musulmans ont fait consensus (hijma) pour dénoncer ces assassinats odieux",

comme l'a écrit dans ses "bondieuseries" Dom Armand VEILLEUX, ocso, abbé de l'Abbaye N.-D. de Scourmont,

dites le simplement et nous retirerons notre appréciation et nous ferons amende honorable.
chayR.

Écrit par : chayR | lundi, 04 octobre 2010

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