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samedi, 04 octobre 2014

Du devoir de l'engagement

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AVERTISSEMENT – Ceci n’est pas un article, mais plutôt une lettre adressée à des amis. Plusieurs sujets sont abordés. Une seule conclusion s'impose.

 

 

 

RÉQUISITOIRE

 

 

 

Il est des circonstances exceptionnelles dans l’Histoire de France où l’on entend clamer sur les places publiques et jusque dans les clairières sacrées de nos forêts profondes que LA PATRIE EST EN DANGER.

 

Souvent, ces éclats de voix émanent de politiciens véreux en mal d’audience qui tentent de conforter leur aura pour conserver les suffrages du Peuple. Et surtout leurs sièges… avant de replonger dans la somnolence.

Aujourd’hui, nous sommes vraiment parvenus à ce stade.

En langage casinotier : « faites vos jeux, rien ne va plus ! »

 

 

Économie et société

 

 

 

Je ne suis pas un spécialiste en finances publiques ni en économie politique. Mais je ne suis ni aveugle ni vraiment inculte pour autant. Enfin, je ne pense pas.

 

À la fin du premier trimestre 2014, la dette publique s’établit à 93,6% du PIB. Dès le mois d’avril, elle avait augmenté de 45,5 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent. Elle dépassera 1.950 milliards à la fin de l’année… si la croissance atteint 0,9% comme le prévoit le gouvernement, ce qui semble être une gageure utopique. Soit une hausse de plus de 120 milliards en deux ans et un total qui équivaudra théoriquement à plus de 30.000 euros de dette par Français. Eh oui…

 

Vive le Système ! Vive l’euro !

 

 

La société

 

 

 

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Le mal-être des Français se traduit par le record absolu des suicides en Europe : plus de 10.500 par an. Violences, solitude, chômage, faibles revenus en sont les causes principales. Dans le monde rural qui faisait autrefois l’orgueil de notre Pays, un agriculteur, qui n’ose plus se parer du noble titre de paysan, se suicide tous les deux jours !

 

75.000 personnes sont victimes de viols en France chaque année dont 91% de femmes ou de jeunes filles. Selon Amnesty International (2007) 90% des violeurs ne présentent aucune pathologie mentale.

 

Nous n’avons pas encore atteint le chiffre de la Suède où l’on enregistre le record mondial absolu de viols (juste après le Congo) soit 20 fois plus que dans les autres pays d’Europe. Le Brottsförebyggande Rådet — Conseil Suédois pour la Prévention du Crime — estime que la plupart des viols sont programmés et volontaires. Vous me direz évidemment qu’il n’y a pas de viol involontaire. Quoi que… Je laisse ce concept aux flagorneurs de notre sombre Gardienne des Sots — ça pourra même leur donner des idées. Mais vous avez peut-être une petite idée de la personnalité des auteurs de ces crimes. Des jeunes, bien sûr.

 

 

 

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Un laxisme excessif a toujours tenté les malfrats. Et après, les droitdelhommistes évoquent, la main sur le cœur, l’excuse de provocation.

 

Soignez-les, nourrissez-les et invitez-les : ils envahiront vos hôpitaux, pilleront votre garde-manger et vous mettront dehors. Et la Justice du Système, après leur avoir donné raison, videra vos poches jusqu’au dernier sou. Ah mais… Salauds de Blancs !

 

Et que ceux qui ne me connaissent pas m’accusent de racisme et de xénophobie. J’ai de quoi leur répondre !

 

Mais je revendique le droit — et le devoir — de défendre mon Identité, ma Race et ma Civilisation. Fermez le ban !

 

 

 

Le danger du temps qui passe ou « le devoir de mémoire »

 

 

 

La Gauche s’enlise. La Droite se débat. « À l’ouest, rien de nouveau ! », pour reprendre le titre du célèbre roman d’Erich Maria Remarque.

 

Ne parlons plus de Pépère-sans-Avoir : il avance à pas de géant vers les brouillards de son passé. Dont il n’aurait jamais dû sortir.

 

 

 

Ce qui m’inquiète ça n’est pas le retour annoncé de longue date de Nicolas Sarkozy (qui avait pourtant juré publiquement — devant les auditeurs de Jean-Claude Bourdin, le 8 mars 2012 — qu’en cas de défaite, il se retirerait définitivement de la scène politique).

 

Hollande a gagné les urnes sur la récusation de Sarkozy. Sarkozy veut gagner le pouvoir sur la débâcle de Hollande. Un bien triste spectacle qui me ferait sourire s’il ne mettait en jeu notre avenir et celui de nos enfants.

 

Ce qui m’inquiète, voyez-vous, c’est que « les Français ont la mémoire courte » comme disait un Maréchal de France.

 

 

 

Pourquoi la France a-t-elle chassé le baron hongrois ?

 

 

 

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  1. Dette publique : + 612 milliards d’euros en 5 ans. De 1.175,9 (1er trimestre 2007 – source INSEE) à 1.788 milliards d’euros à la mi-2012 (source : Bercy/Banque de France et rapport du projet de loi de finances pour 2012).
  2. Cadeaux fiscaux pour les plus riches (perdus pour l’état) : 75 milliards offerts en 5 ans.
  3. Multiplication des taxes pour tous : 24 taxes supplémentaires en 5 ans. Liste établie par le journal Le Monde sur la base des travaux de la Commission des Finances de l’Assemblée Nationale. Par ailleurs, les prélèvements obligatoires sont passés de 43,3% du PIB — 818,9 milliards — en 2007 à 44,5% — 920,9 milliards — en 2012 (source : INSEE/Conseil des prélèvements obligatoires et rapport du projet de loi de finances pour 2012).
  4. Chômage : 1 million de chômeurs de plus en 5 ans.
  5. Violences contre les personnes : 21,2% d’augmentation en 5 ans. Hausse entre 2002 — Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur — et 2010 (source : rapport thématique de la Cour des Comptes, 2011).
  6. Pauvreté : 337.000 nouveaux pauvres en 5 ans. En utilisant le seuil de pauvreté à 60% du niveau de vie médian (source : INSEE/Observatoire des inégalités). En 2008, 7.836 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté. En 2009, 8.173 vivaient sous le seuil de pauvreté.
  7. Abandon de l’éducation : 80.000 postes supprimés en 5 ans. 66.000 suppressions de postes entre 2007 et 2011 auxquelles il faut ajouter les 14.000 suppressions programmées pour la rentrée 2012.
  8. Dégringolade de la liberté de la Presse : 31ème pays en 2007, la France se classe 44ème à la fin du quinquennat (source : classement mondial effectué par RSF).
  9. Santé : 4 millions de personnes n’ont pas de complémentaire santé ou renoncent à se soigner (source : rapport 2011 de Médecins du Monde).
  10. Retraites : 60.000 retraités devenus pauvres en 5 ans (source : INSEE, 2010).
  11. Déficit de la Sécurité Sociale : + 8,7 milliards d’euros en 5 ans. De 9,5 milliards d’euros de déficit en 2007, nous sommes passés à 18,2 milliards à la fin 2011 (source : rapport du projet de loi de financement de la sécurité sociale).
  12. Déficit commercial : 36 milliards d’augmentation en 5 ans. De 39,1 milliards d’euros de déficit en 2007, nous sommes passés à 75 milliards à la fin 2011 (source : Bercy).
  13. Croissance : zéro point de croissance en 5 ans. Le taux de croissance cumulé sur la période 2007-2011 est de 2,6% — avec un taux de 1,7% pour 2011). Fin 2006, le taux de croissance était à 2,5% (source : INSEE).
  14. Emploi industriel : en 2002, la France comptait 4.045.000 emplois industriels. Elle en compte 3.292.000 au troisième trimestre 2011, soit une baisse de 750.000 (source : INSEE, 2011).
  15. Précarité du travail : + de 70.000 actifs — en particulier des jeunes — sont devenus pauvres en 5 ans (source : INSEE, 2010).
  16. Armée : suppression de 54.000 emplois militaires pendant le quinquennat Sarkozy sous la pression de Bruxelles, qui passe le budget Défense à 1,5% du PIB ce qui est dramatique pour notre sécurité intérieure comme extérieure. (Il faut dire aussi qu’aujourd’hui, la « gestion Hollande » veut supprimer à nouveau de 34.000 autres emplois selon la loi de programmation militaire 2014-2019 pour arriver à 1,2% du PIB, confinant ainsi notre Défense Nationale dans une situation d’apocalypse budgétaire qui met en péril la sécurité des Français en France comme à l’étranger.) Je rappelle que seule Marine Le Pen, dès 2012, s’est engagée à maintenir le budget Défense à 2% du PIB, niveau moyen constaté jusqu’en 1997.
  17. Police et gendarmerie : suppression de 12.469 postes entre 2007 et 2012. Moyens et équipements en chute libre. Circulez, y’a rien à voir !

 

 

 

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Avec la Taubira, on a simplifié le problème : la Police ? — en prison ! Ben oui… c’est ça, l’alternance.

 

 

 

Referendum ou déni de démocratie ?

 

 

 

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Dimanche dernier, lors de son interview télévisée, le baron hongrois a déclaré sans honte : « La question que se posent les gens, c’est : qu’est-ce qui nous donne la garantie que vous allez tenir ce que vous dites ? Je crois qu’il est temps de réintroduire le referendum. Le referendum, c’est la clé. »

 

J’ai cru avoir rêvé !

 

RETOUR EN ARRIÈRE — S’appuyant sur sa majorité à l’Assemblée Nationale et au Sénat, Sarko avait convoqué les Parlementaires en Congrès à Versailles le 4 février 2008 pour leur faire voter EN FORCE la modification de la Constitution préalable à la ratification du Traité de Lisbonne, modification que le Peuple de France avait rejetée à une large majorité par referendum précisément, le 29 mai 2005 avec 54,67% de NON contre 45,33% de OUI. Participation : 69,37% de votants dont 97,48% de suffrages exprimés.

 

Ce fut l’un des plus graves coups portés à la démocratie dans notre pays avec la complicité active de la plupart des parlementaires.

 

Pour l’anecdote et prouver si besoin était la perversité visqueuse du Système, je vous rappelle que Valéry Giscard d’Estaing — l’homme du rapprochement familial — avait déclaré à cette occasion : « C’est une bonne idée d’avoir choisi le référendum, à condition que la réponse soit OUI » (Le Monde, 6 mai 2005). Un an après, le faux aristocrate dévoile « leur » manœuvre frauduleuse : « Le rejet de la constitution était une erreur qui doit être corrigée. » (Discours à la London School of Economics, 26 juin 2006). Autrement dit : les Français sont des imbéciles, passons outre.

 

Ces gens-là (le Système) n’ont aucune considération pour vous. Mais qu’une majorité continue de leur faire confiance et à prendre au sérieux leurs bagarres de polochons en période électorale me laisse sans voix.

 

De toutes manières, ma voix (comme la vôtre) ils s’en moquent.

 

 

Le danger du temps qui vient

 

 

 

Nous sommes aujourd’hui en guerre ouverte au finish contre l’État Islamique dirigé par le calife autoproclamé Abou Bakr al-Baghdadi al-Husseini al-Qurashi. Ce nouvel état n’est pas si récent que vous pourriez le croire. Il a été instauré le 13 octobre 2006 par le Conseil consultatif des Moudjahidines en Irak. Une conséquence directe de la politique américaine pendant la deuxième Guerre du Golfe ? — Sans aucun doute. Mais les faits sont là. Il faut les affronter sans perdre son temps en conjectures quant à leurs origines. C’est après avoir éteint l’incendie qu’on en cherche les causes.

 

Qui dit « GUERRE » dit « ENNEMI ». N’en déplaise aux pudibonds grelottants, incultes et hypocrites de la bienpensance. Là aussi, nous savons que cette bienpensance est responsable en grande partie de notre faiblesse. Renforçons nos armes et rétablissons notre puissance de feu. Nous règlerons nos comptes après.

 

Pour lutter contre un ennemi et le vaincre, il faut avant tout savoir qui il est, prévoir ses mouvements et réactions, et anticiper ses mutations stratégiques.

 

L’EI est un « état religieux ». Dont acte.

 

Voyons comment fonctionne son « moteur ». CECI N’EST PAS UNE PERTE DE TEMPS.

 

 

 

L’islam à l’origine

 

 

 

Le mot « islam » < الإسلام > signifie « soumission » (à Dieu évidemment). Cette religion instituée par Mahomet (570-632) compte aujourd’hui 1,661 milliard de fidèles (soit 22,9% de la population mondiale).

 

Je m’étends quelque peu dans la deuxième partie de mon prochain livre « Les Protocoles du Quincy » sur la transmutation des origines ésotériques de l’islam qui apparaissent essentiellement dans le Soufisme. Disons que cette Tradition est consubstantielle aux races issues du premier fils d’Abraham, Ismaël (< إسماعيل > en arabe, < ישׁמעאל > en hébreu) que les Arabes considèrent comme leur ancêtre suprême. Leur géniteur primordial était Sem, l’un des trois fils de Noé. Ça remonte déjà à quelques années…

 

Pour essayer de comprendre les raisons profondes du conflit actuel et le RENVERSEMENT DES ALLIANCES (notamment quant à la position apparemment ambigüe de l’Iran et à celle non moins surprenante de l’Arabie Saoudite) il faut d’abord savoir que :

 

  • les Sunnites désignèrent à la mort de Mahomet, Abou-Bakr — son compagnon de toujours — comme premier calife, au nom de l’hégire (cf. infra, sous la carte). Ils considèrent le Coran comme une œuvre divine. L’imam est pour eux une sorte de prêtre nommé par d'autres hommes, faisant office de relai entre le croyant et Allah. Dans certaines situations, il peut s'autoproclamer comme nous l’observons aujourd’hui dans l’État Islamique. Ceci est extrêmement important quand on sait que pour les musulmans « le calife est l’image de la divinité sur terre ». Leur clergé n’obéit pas à des règles immuables ;
  • les Chiites désignèrent à la mort de Mahomet, Ali — son gendre et fils spirituel — comme premier calife, au nom des liens du sang. Ils considèrent l’imam, descendant de la famille de Mahomet, comme le guide de la communauté tirant directement son autorité d’Allah. Leur clergé est très structuré.

 

Conséquence importante : alors que les Sunnites fondent les autorités religieuse et politique dans la même personne, les Chiites prônent la séparation du temporel et du spirituel. Par exemple, au Maroc (sunnite) le Roi est le Commandeur des croyants, tandis qu’en Iran (chiite) les Ayatollahs sont indépendants du pouvoir exécutif, même si leur influence sur le pouvoir politique est importante.

 

Les Sunnites représentent aujourd’hui environ 85% des Musulmans dans le monde.

 

Les pays à majorité chiite sont l’Iran, l’Irak, l’Azerbaïdjan et Bahreïn. Des minorités importantes existent au Pakistan, en Inde, au Yémen, en Afghanistan, en Arabie saoudite (sur la côte est) et au Liban.

 

 

 

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La prépondérance numérique des Sunnites sur les Chiites procède du concept même de l’Hégire < هجرة > mot qui signifie rupture. Les Sunnites y voyaient la justification de la nomination d’Abu-Bakr comme premier calife : Mahomet avait en effet rompu avec les liens traditionnels du sang (organisation clanique de la société) pour former la communauté des croyants, l’oumma < أمّة >.

 

Pour tout compliquer, le Coran est complété par les hadiths < أحاديث >, communications orales de Mahomet et par extension, recueil qui comprend l'ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles de Mahomet et de ses compagnons. Les hadiths sont considérés comme des principes de gouvernance personnelle et collective pour les musulmans. Ils auraient été rapportés par près de 50.000 compagnons. C’est tout cet ensemble qu’on désigne généralement sous le nom de tradition du Prophète formant la sunna < سنة > qui signifie « cheminement » ou « pratique(s) ». Ces multiples commentaires ont donné lieu à des lectures subjectives imprécises qui induisirent des querelles d’autant plus violentes qu’elles procédaient d’interprétations souvent contradictoires, chaque alem < عالِم > (au pluriel : ouléma) pensant et disant détenir la vérité… D’où une surenchère constante, évolutive et une confusion permanente. D’autant que les premières versions du Coran n’étaient pas particulièrement simples à déchiffrer…

 

 

 

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Manuscrit de La Mecque, 1er siècle de l’hégire

 

 

 

Qui se fait entendre par la multitude ? — Celui qui possède le plus fort charisme et dispose de plus de force et de moyens que les autres. As simple as that !

 

 

 

Évolution de l’islam

 

 

 

Puis, comme pour toutes les religions du monde, le temps a assoupli les règles originelles de l’islam qui s’est adapté au monde environnant. C’est ce que j’appelle la soumission des religions (humaines) à la Nature (divine), loi immuable toujours vérifiée depuis l’origine du monde ou suprématie absolue du paganisme [la religion du pays] de la tradition primordiale : l’opposé de l’athéisme. Mais là n’est pas le sujet aujourd’hui.

 

Dès que les armées musulmanes, après avoir conquis l’Afrique du Nord, eurent franchi de détroit de Gibraltar (ou Djebel al-Tariq < جبل طارق > = le mont de Tariq du nom du général de l’armée omeyyade Tariq Ibn-Ziyad) la description du Paradis faite dans le Coran marqua les esprits. Lisez un peu : « Après s’être désaltéré au bassin du Prophète, le Croyant pénètre dans un Paradis où il dispose de richesses et de possessions immenses. Un printemps éternel entretient la verdure de ses jardins où bruissent et coulent des ruisseaux de toutes sortes. » On comprend mieux le cri de guerre des généraux arabes : « Le Paradis est devant vous et l’Enfer derrière ! » N’oublions surtout pas que le Coran dépeint le Paradis comme la transposition exacte de notre monde. Pour eux, l’enfer c’était la fournaise ardente des sables du désert qu’ils avaient laissés loin derrière. Outre des explications et assimilations ésotériques plus ou moins spécieuses, la couleur « verte » du drapeau de l’islam représente pour moi avec précision ce qu’il manquait aux Arabes à l’époque de Mahomet : la fertilité. D’où leur besoin de conquêtes de terres hors le désert brûlant qui les avait vus naître.

 

 

 

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Vaincus par les armées franques de Charles Martel et de son frère Childebrand en octobre 732 à Poitiers, les Arabes se replièrent sur les terres immenses qu’ils avaient conquises, de l’Andalousie à Bagdad.

 

Succédant aux Omeyyades, aux Almohades et aux Almoravides, la dynastie des califes Abbassides (750-1258) descendant de Abbas — l’un des oncles de Mahomet — vécu l’apogée arabe qui perdura jusqu’à la fin du XIIIème siècle.

 

 

 

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L’islam s’était fondu peu-à-peu dans l’âme des Peuples qu’il avait conquis.

 

Or cet islam-là n’existe plus.

 

Ou du moins, l’islam présenté AUJOURD’HUI au monde tel que nous le « connaissons » et que nous appelons à juste titre communément « l’islam » est effectivement intrinsèquement pervers comme aurait dit Pie XI. J’ajoute diabolique.

 

 

 

Pourquoi ?

 

 

 

Un homme d’état contemporain, Abdelaziz ben Abderrahmane Al-Saoud dit Ibn-Seoud, décédé en 1953, a récupéré et institutionnalisé la conception déjà rétrograde en son temps — au sens étymologique du mot — du beau-père de son arrière-arrière-arrière-grand-père Mohammed ben Saoud : Mohammed ben Abdul-Wahhab (XVIIIème siècle), déviance qui serait restée enfouie dans les sables du désert sans les visées stratégiques d’Ibn-Seoud. Ne disposant pas d’autres moyens, il lui fallait bien accrocher le temporel au spirituel comme l’enseigne la doctrine sunnite. Très religieux de surcroît, Ibn-Seoud — que j’appelle souvent le « Napoléon arabe » — était un homme politique d’une intelligence hors du commun. Instaurant une théocratie des plus totalitaires (les Arabes n’ont rien à faire de la démocratie et le rappellent tous les jours) il a trouvé le filon pour réunir par une propagande gratuite qui ne souffrait aucune discussion possible (l’amalgame de la religion au divin) les tribus bédouines primitives d’Arabie, les fameux coureurs du désert. Jouant du sabre et de sa stratégie, il a créé de toutes pièces le pays qu’on appelle aujourd’hui l’Arabie Saoudite. Cette institutionnalisation connue sous le nom de Wahhabisme est devenue l’ISLAM en général aux yeux des occidentaux (n’en déplaise aux chiites) notamment de par notre confrontation permanente à l’islam sunnite pratiqué dans les pays francophones d’Afrique du Nord. Pour Ibn-Seoud, c’était le seul moyen de parvenir à ses fins, se dégageant tant de la Porte ottomane que de la Couronne britannique. Pour mettre sur son gâteau dégoulinant de miel une cerise industrielle, il réussit à appâter les Américains, dépourvus de toute culture et de passé historique, pressés par leurs besoins énergétiques en vue de la préparation de la guerre froide et de la conquête du monde. Le projet du Nouveau Siècle Américain mis en page par Paul Wolfowitz au nom du courant néo-con était déjà dans les cartons depuis le début du XXème siècle, voire la fin du XIXème. Washington a vu dans ses alliances avec la manne pétrolière arabique, le moyen efficace d’émerger de la scène internationale en signant de la main de Roosevelt avec Ibn-Seoud le Pacte du Quincy, le 14 février 1945. C’est pour moi la DATE NOIRE de l’histoire moderne.

 

 

 

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Pacte du Quincy

 

 

 

Pourquoi je considère l’islam d’aujourd’hui comme intrinsèquement diabolique ?

 

 

 

Tout simplement parce qu’Ibn-Seoud ayant instauré le Wahhabisme comme religion d’état, est allé à l’encontre du temps.

 

Vouloir « renverser l’évolution » est un acte diabolique.

 

La STRATÉGIE (adroite et efficace) du Roi d’Arabie a été prise au pied de la lettre par toutes les populations acculturées qui se trouvent aujourd’hui sous influence islamique. C’est bien pourquoi nous observons tous les jeunes déracinés, illettrés comme dirait Macron à juste titre, rejoindre les hordes barbares de l'État Islamique, tant sur site que partout dans le monde (on vient d'en voit l'exemple funeste aujourd'hui, 24 septembre 2014, en Algérie) et chez nous en France où l'EI dispose d'innombrables relais prêts à passer à l'action terroriste. 

 

Ibn-Seoud a été pris à son propre jeu.

 

Le politiquement correct est lui aussi fondamentalement pervers. Quand un homme devient un monstre à l'âge adulte, il ne change pas de nom pour autant. Même si c'était un adorable bambin quand il était enfant.

 

 

 

Une incohérence de plus…

 

 

On observe aujourd’hui que l’Arabie Saoudite et même le Qatar soutiennent l’effort de la coalition internationale pour écraser les œufs de le Pieuvre Verte de l’État Islamique.

 

Que le Qatar (qui a financé directement l'État Islamique — encore davantage que les USA et l'Union Européenne ce qui n'es pas peu dire !) ait subi des pressions incontournables de la Réserve Fédérale américaine ne fait aucun doute.

 

Mais en ce qui concerne l'Arabie Saoudite, leur position est totalement incohérente et diamétralement opposée au Wahhabisme qui est leur religion d'état. Pour des Sunnites, leur crime est imprescriptible : ils préservent leur CLAN (la famille Saoud et les cohortes de princes attachés à leurs basques comme des sangsues vertes) au détriment de l'oumma ! Finalement… il est amusant de constater que le libéralisme consumériste du Grand Satan les aura autant corrompus sinon davantage que l'influence qu'ils exercent aux USA.

 

 

 

 

 

En Occident en général et en France en particulier, les complices du Wahhabisme sont les complices du Diable

 

 

 

Les traîtres par obligation comme Sarkozy qui a permis l’instauration de la charia en Libye sur ordre de Washington, et les traîtres par cupidité comme Juppé qui promeut l’expansion de l’islamisme en France sur ordre du Qatar, n’ont pas vocation à diriger la France.

 

 

 

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N’OUBLIEZ PAS CES CONSIGNES PRÉCISES « Si vous ne pouvez pas trouver d'engin explosif ou de munition, alors isolez l'Américain infidèle, le Français infidèle, ou n'importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ! » (Abou Mohammed al-Adnani — porte-parole de l’État Islamique — 20 septembre 2014).

 

Je ne vous indique pas les dernières vidéos : vous les avez tous vues.

 

 

 

Au plan de notre stratégie, pour reprendre le vocabulaire d’Howard Bloom (in Le Principe de Lucifer et Le Cerveau Global — livres essentiels que je ne saurais trop vous recommander de bien lire une fois de plus) notre devoir, si on assimile le devoir moral au devoir de survie, est de détruire ce « superorganisme islam » tel que nos contemporains le connaissent ou plutôt le subissent. De l’éradiquer comme un virus létal.

 

UNE RELIGION MODÉRÉE N'EXISTE PAS : ELLE N'A AUCUN SENS. Il n’y a que les hommes (heureusement nombreux) qui peuvent être « MODÉRÉMENT RELIGIEUX ».

 

C’est-à-dire, pour les Musulmans, celles et ceux qui refusent l’évolution de l’islam À CONTRE-COURANT DU TEMPS. Et qui ont les moyens d’y résister…

 

 

 

Les Harkis de demain

 

 

 

Dans la perspective d’un conflit généralisé — qui n’est pas à exclure dans un futur immédiat — les Musulmans qui vivent pacifiquement en France, qui aiment sincèrement la France, qui respectent la France en son âme et en ses traditions, seront les premières victimes. Ou nos premiers alliés

 

Aussi devons-nous accueillir comme Frères d’arme les Arabes, les Berbères, les Celtes, les Gaulois, les Germains, les Ibères, les Romains, les Saxons, les Slaves, les Vikings et bien d’autres encore, qui refusent de se laisser engloutir par le maelström de cette nouvelle ignominie islamique contre-nature.

 

Pour reprendre une phrase que j’inscrivais dans un papier précédent, « peut-être des Héros surgiront-ils de nos rangs et monteront-ils aux murs de nos villes. L’air des remparts est plus pur que celui des caves pestilentielles où depuis longtemps déjà, se sont entassés les traîtres et les lâches. »

 

 

En conclusion

 

 ... 

Luc Sommeyre

 

 

 

 

 

 IN MEMORIAM

 

 

 

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Que les Dieux accueillent l'âme de notre compatriote Hervé Gourdel, mort pour la France.

 

Que les croyants, toutes religions confondues, prient pour son salut.

 

Que tous les autres allument une bougie en sa mémoire. Et ne l'oublient jamais.

 

LS

 

 

 

PS : « Mort pour la France » est l'expression consacrée pour tous les Français tombés au Champ d'Honneur ou sous les coups de l'ennemi. Elle ne souffre pas d'interprétation.

 

 

 

Je réagis à la position du CFCM, le Conseil Français du Culte Musulman, en ce matin du 25 septembre.

 

Le Recteur de la mosquée de Paris, M. Dalil Boubakeur, se dit « horrifié » par l'assassinat de notre compatriote dans les montagnes de Kabylie et demande un « châtiment exemplaire » contre ce « crime barbare », pour reprendre ses mots. Je crois en effet que l'immense majorité des musulmans de France (et d'ailleurs) est très sincèrement atterrée par cet acte de barbarie. Des réactions violentes contre les musulmans en général seraient parfaitement INJUSTES et INADMISSIBLES. Elles serviraient l'intérêt des barbares et affaibliraient la cohésion nationale.

 

Mais il aurait été judicieux que les musulmans de France, et les personnes nées musulmanes, manifestent leur opposition farouche depuis des années à cette déviance perverse de l'islam.

 

J'adjure mes amis et mes compatriotes de ne pas se laisser aller à une contre-barbarie dont les effets seraient tout aussi pervers que ceux contre lesquels ils luttent.

 

J'adjure aussi les musulmans d'aider tous les Hommes Libres à écraser la Pieuvre Verte, main dans la main avec les chrétiens, les juifs, les païens et toutes personnes d'une autre confession et à se joindre au grand mouvement de RÉSISTANCE sans lequel nous pourrions bientôt sombrer dans une guerre ethnique dévastatrice.

 

LS

04:29 Écrit par Bonnes Nouvelles dans F o r u m | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islam | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook