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vendredi, 18 juillet 2014

Immigration, islam : vers la guerre civile ?

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Analyse polémologique 17 juillet 2014
by Guillaume Faye.

Dans un précédent article (« La Troisième guerre mondiale : prédictions ») j‘avais évoqué, dans un scénario d’embrasement global, une possible guerre civile ethnique en France : « L’immigration massive en Europe (surtout de l’Ouest) sous la bannière de l’islam va progressivement dériver vers une guerre civile ethnique. L’incapacité de l’Europe à endiguer l’immigration invasive en provenance du Maghreb et de l’Afrique continentale en explosion démographique débouchera inévitablement sur un conflit majeur. La présence en Europe de très fortes masses de manœuvres jeunes, d’origine arabo-musulmane, de plus en plus islamisées, avec une minorité formée militairement et voulant en découdre dans un djihad d’émeutes insurrectionnelles et de terrorisme, sera le facteur déclencheur d’une spirale incontrôlable. » Penchons-nous sur la probabilité de ce scénario. Le meilleur allié de la polémologie (science et études des conflits armés collectifs), c’est l’histoire. Or, la longue histoire de Rome, par exemple, nous enseigne que les guerres civiles (avec légions romaines contre légions romaines) furent aussi fréquentes que les guerres de conquête et/ou de défense menées contre des peuples extérieurs. Relisant l’histoire de la France, de l’Allemagne, de la Grande Bretagne, des Etats-Unis, de la Chine, on s’aperçoit que les guerres intestines égalent les conflits extériorisés. De plus en France, il existe une forte tradition de conflits internes de forte ou de basse intensité, de la guerre de religions des XVIe et XVIIe siècles jusqu’aux XIXe et XXe siècles. La Révolution française, on l’oublie trop souvent, ne fut ni plus ni moins qu’une guerre civile. Tout comme, lors de l’opposition résistants/ collaborateurs et vichyssois au cours de la Seconde guerre mondiale, la France, était réellement partagée en deux camps qui se haïssaient (avec, comme toujours, la majorité de la population attentiste). La montée de l’opposition conflictuelle entre l’islam, de plus en plus présent et en expansion numérique (nouveauté radicale et tonitruante dans l’histoire de France, minimisée par une oligarchie politico-médiatique à la fois apeurée et aveuglée) et la société française ”de souche” est beaucoup plus explosive et intense potentiellement que, par exemple, les guerres de religions entre catholiques ou protestants ou que les conflits idéologiques et politiques qui ont émaillé l’histoire récente depuis la Révolution (1). Vient s’ajouter à cela la dimension ethnique, très aggravante, du fait de l’immigration massive africaine et maghrébine. Au conflit spécifiquement religieux, sociologique et idéologique, vient s’ajouter, même si elle n’est pas formulée comme telle, la dimension ethno-biologique, qui a un énorme impact dans les mentalités collectives, même si elle est niée et refoulée par la censure (le surmoi) de l’idéologie dominante. Nous assistons actuellement à la mise en place de tous les éléments d’un conflit intérieur violent en France, pratiquement inévitable. Les ingrédients de l’explosion sont tous présents. La question n ‘est plus de savoir s’il va se produire, mais quand il va éclater. Passons en revue, en forme de diagnostic, les éléments socio-chimiques de l’explosion du mélange : 1) Une très nombreuse population de plusieurs millions de « jeunes », en croissance constante, d’origine immigrée, très mal scolarisée, en situation de chômage, d’assistanat, dont une bonne proportion se livre à l’économie souterraine (drogue, trafics de biens volés, etc.) et à une délinquance polymorphe, constitue la masse de manœuvre, les gros bataillons d’un soulèvement général possible. 2) Cette jeune population est travaillée au corps (vecteur internet, entre autres) par un islamisme revendicatif et identitaire allogène, d’essence polémique. Dans l’inconscient –ou le conscient– collectifs d’une partie (minorité agissante) de cette population, il s’agit, de manière très primaire de porter le djihad en France, comme accompagnement d’une stratégie de révolte, de revanche et de conquête. 3) En concomitance : l’islamisation de la France, visible par tout le monde tous les jours, soigneusement minimisée par l’oligarchie, mais qui se manifeste non seulement par la multiplication des lieux de culte, mais par la transformation, la ”défrancisation” de zones entières. Cette islamisation est en quelque sorte ”anesthésiée” par les discours pleins de duplicité des autorités islamiques officielles, avec l’oxymore passe-partout de l’ ”islam modéré” ou de l’”islam laïc”. En réalité, l’islam agit, dans cette montée des tensions ethniques, comme un levain. Et ce, dans une ambiance internationale médiatisée de guerre globale islam/Occident (2). 4) La montée d’un racisme anti-autochtones (et anti-juifs violent, qui pose un énorme problème à une idéologie dominante perdant tous ses confortables repères) est objectivement observable partout. Il est le parallèle de manifestations quotidiennes de rejet de la culture et de l’appartenance française et européenne. La multiplication des femmes voilées, comme signe de provocation (et pas du tout de ferveur religieuse) est un moyen de défi ethnique et de marquage territorial. De même, il suffit d’écouter les paroles des groupes de rap, diffusés partout, pour mesurer le degré d’agressivité et l’envie d’en découdre. 5) Depuis 2005, des émeutes urbaines de basse et de moyenne intensité sont récurrentes, sous n’importe quel prétexte. Avec un cortège de vandalisme, d’incendies, d’agressions, d’affrontements avec la police. Qu’il s’agisse d’un match de foot impliquant l’Algérie, d’une manifestation étudiante, d’un ”incident” avec les forces de l’ordre opérant contre des délinquants, des fêtes du Nouvel An ou du 14 juillet, les émeutiers, les ”bandes ethniques”, sont toujours au rendez-vous. Sans oublier, toujours, ce mélange alchimique de délinquance et d’insurrection. Le phénomène s’amplifie mais on s’y habitue… 6) Cependant tout le monde ne s’y habitue pas. Ces signaux forts d’agressivité, visibles dans la vie quotidienne, comme autant d’intersignes, jamais repérés ou niés par les sociologues de cour, sont pourtant bien visibles. Le peuple, lui, les perçoit et les subit ; les élites se bouchent les yeux. Jusqu’au moment où leur sanctuaire sera violé…C’est le dernier ingrédient de l’explosion du tonneau de poudre : la réaction du peuple autochtone de base. On assiste à un mouvement géographique progressif d’émigration intérieure. Le territoire devient une ”peau de léopard”, avec des zones de plus en plus nombreuses conquises, occupées, où les Français de souche ne sont plus les bienvenus. Ces ”invisibles”, devenus étrangers dans leur propre patrie, abandonnés par un État collaborateur objectif des populations précitées largement aidées et favorisées bien qu’elles se posent hypocritement en victimes, pourront entrer en rébellion. Extension du domaine de la lutte, extension du périmètre des zones conflictuelles, extension du domaine des tensions. Les mouvements protestataires des autochtones (Manif pour tous, Bonnets rouges, etc.), pour l’instant limités à des sujets sociétaux et économiques, pourront parfaitement connaître une telle extension et passer à la révolte. La révolte contre ce cocktail de plus en plus corsé d’insécurité et de dépossession ethno-culturelle. Le pouvoir ne possède aucune réponse. La stratégie officielle est de nier la réalité. Tout va bien, Madame la marquise. D’autres éléments inquiétants entrent en jeu, qui renforcent l’hypothèse d’une explosion : d’abord, la saturation des capacités des forces de l’ordre, incapables de gérer des émeutes de grande ampleur éclatant simultanément dans plusieurs métropoles, est une donnée ”militaire” connue des populations précitées. Ensuite, encore affaiblie par toutes les mesures de Mme Taubira, la réponse punitive policière et judiciaire à la délinquance et aux violences est ridiculement faible ; elle génère un sentiment d’impunité et d’audace destructrice face à un adversaire jugé impuissant, compatissant ; ce qui augmente d’autant l’agressivité. Troisième élément : le terrorisme. Le pouvoir s’est inquiété de tous les jeunes djihadistes qui partaient sur les fronts étrangers et revenaient, fanatisés, au risque de commettre des attentats. Il est évident que des attentats terroristes vont avoir lieu en France, dont les frontières sont des passoires. Cela dit, au risque de choquer, le terrorisme est un facteur de réveil des autochtones, qui nuit profondément à la cause de ceux qui l’utilisent. Enfin, n’oublions pas la dégradation de la situation économique qui joue le rôle d’accélérateur. La cause fondamentale de cette situation est évidemment l’implacable réalité démographique. Frontières ouvertes depuis 40 ans, différentiel de fécondité et, au total remplacement progressif de population. Ces faits sociaux majeurs sont totalement occultés par les grands experts du politiquement correct (intellectuels, politiciens, etc) qui paradent sur les plateaux télé pour bavarder, rassurer et mentir. L’ ”intégration” n’a pas seulement échoué, elle a été impossible dès le début. On n’intègre que des proches ethno-culturels et encore, en faible nombre. À la place de l’intégration et de l’assimilation (”tous de bons futurs petits Français”), nous avons l’hostilité. Aujourd’hui, il est trop tard pour éviter l’explosion du tonneau de poudre sur lequel nous sommes assis et dont la mèche se consume. Dans un discours orwellien, l’oligarchie a fait passer l’immigration de peuplement pour une chance là où le bon sens indique une catastrophe. La question est maintenant de savoir comment tout cela va finir. Comme dans toute réalité polémologique, il existe deux hypothèses : la première est l’action–réaction. Il faut être deux pour s’affronter. L’un des camps gagne et l’autre perd. Encore faut-il pour cela que le camp des agressés – qu’on accuse évidemment d’être l’oppresseur, vieille logique fréquente dans l’histoire – ait le courage moral et physique de se défendre et de vaincre. La seconde hypothèse est celle de l’éthologue Konrad Lorenz, la Warmtod, la ”mort tiède”. Le naufrage progressif, sans combattre vraiment. Écartons ce cauchemar. Comme l’a montré Tacite, que Montherlant a repris, la guerre civile, est haineuse, intense, extrême. Psychologie humaine : la proximité, la cohabitation dans un même espace augmente l’intensité des conflits et les rend impitoyables. Aristote a fait de longues démonstrations, qu’on ne lit pas assez, pour expliquer que toute Cité multiethnique, multiculturelle, hétérogène est vouée à terme à la guerre civile, à l’anarchie et au despotisme pour essayer de recoller les morceaux. L’histoire du Moyen-Orient prouve que le désordre endémique est le lot des sociétés hétérogènes et différentialistes. Le concept d’ethnopluralisme n’est valable qu’à l’échelle de l’humanité, séparée par des frontières, pas à l’intérieur d’une nation, au sens étymologique. Seule peut être stable et créatrice une société ethniquement et culturellement homogène. La langue de bois (ou de coton) rassurante de la classe politico-médiatique, faussement optimiste, voulant conjurer ce qui se profile, comme un médecin qui raconte à un cancéreux qu’il a la grippe, ne pourra absolument rien contre les faits. Pour l’instant, nous avons subi de petits séismes annonciateurs ; nous devons nous préparer au Big One. Chance ou tragédie ? L’histoire est ouverte, elle repose structurellement, comme la vie, sur le conflit ; et nous sommes responsables de notre destin, c’est-à-dire aussi de ceux de nos descendants. Pour Carl Schmitt, l’ennemi n’a jamais tort ni raison, il est vainqueur ou vaincu, point final. (1) Crises révolutionnaires de 1830 et de 1848, Commune de Paris, crises anticléricales de la Belle Époque, période de l’Occupation, guerre d’Algérie…. (2) Dans le monde arabo-musulman, on entretient une tension polémique permanente avec l’”Occident”, les ”croisés”, par exemple à l’aide des séries télé. L’une d’elle, très populaire en Cisjordanie, diffusée par MBC (Middle East Broadcast Channel) propriété du prince saoudien Walid ibn Tadal, intitulée Bab el-Hara (”La porte voisine”) met en scène les ”résistants” syriens à la présence française entre les deux guerres, présentée comme une monstrueuse oppression. Propagande efficace.

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vendredi, 04 juillet 2014

Le bon islam existe t-il ?

Avant propos : Mme Bariza Khiari est sénateur socialiste de Paris. Ayant la double nationalité, algérienne et française, elle s’efforce de défendre l’Islam qu’elle trouve injustement critiqué en France et en Europe en général.
Elle a dernièrement déclaré :  » Je suis musulmane sunnite de rite malékite et de tradition soufie. Et notre islam, comme celui de la grande majorité des musulmans en France, est un islam complètement apaisé, ouvert, tolérant, en cohérence avec la tradition laïque française.  » !
Comme la bien connue Waffa Sultan ,Hamdan Ammar, musulman lui même d’origine algérienne, rejette cette affirmation.

Texte de la Lettre ouverte à la sénatrice socialiste Bariza Khari.

Tout d’abord, excusez mon audace, car j’ai beaucoup hésité avant de vous écrire, pour soulever le problème de l’Islam et pour répondre aux déclarations que vous avez faîtes sur la chaine de télévision parlementaire. En effet, vous avez dit qu’il y a une grande différence entre votre Islam et celui qui fait débat actuellement à travers le monde.

Sachez Madame la Sénatrice, que je ne partage pas vôtre point de vue. Je crois savoir, si mes sources sont fiables, que vous avez les mêmes origines que moi : berbères. Eh bien, ouvrons les manuels d’histoire. L’Islam s’est propagé en Afrique du nord par l’épée et il a soumis nos ancêtres communs par la terreur, en appliquant à la lettre le Djihad. Sinon comment m’expliquer que Okba le conquérant était devenu le libérateur et Koceyla, le patriote, était devenu l’ennemi de son propre pays, passant aux oubliettes de l’histoire ? Qui se souvient du prince Koceyla en Algérie ? Personne, parce qu’il était Chrétien ! Mais une ville du sud algérien porte le nom d’Okba pour le glorifier. Qui dit mieux ?

Ce ‘valeureux’ chef musulman Okba, pour mieux humilier et rabaisser plus bas que terre nos ancêtres amazighs, à son retour dans son pays, emmena dans ses bagages 25.000 adolescentes berbères comme butin de guerre, séquestrées au cours de ses razzias qui furent vendues comme esclaves sexuelles sur les marchés de Damas. Et j’en passe mais sans oublier la diabolisation bien orchestrée de la Reine Kahina, par les envahisseurs de la Numidie qui perdure jusqu’à nos jours.
Quant au Coran, c’est l’auberge espagnole, on peut y faire le marché à la carte, suivant le goût et l’odeur du moment. La religion islamique est une vraie lessiveuse des esprits…

Madame la Sénatrice, et avec votre permission, évoquons le sort réservé à la femme en Islam. Et commençons par Mahomet, lui-même, ne s’est-il pas marié avec Aïcha, la gamine de neuf ans, alors qu’il en avait cinquante deux ou cinquante trois ? N’avait-il pas pris comme épouse Zineb, la femme de son fils adoptif Zaïd, après l’avoir contraint à se séparer d’elle, par un verset coranique ? Et combien d’épouses et de femmes esclaves, avait-il possédé durant sa vie ?…C’est une question que je me pose et que je vous pose et j’attendrai votre réponse pour aérer mon esprit embrouillé. Quant au statut de la femme, l’Islam a scellé son sort depuis 14 siècles. Il n’y a qu’à voir ce que les versets coraniques ordonnent en ce qui concerne le témoignage, l’héritage, la polygamie, le mariage, le divorce à son sujet…. N’est-il pas écrit dans le Coran :  » les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la désobéissance de leurs femmes, peuvent les châtier : abandonner leur lit et même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme.  »

Arrêtons de nous voiler la face et de radoter que c’est un complot ourdi par nos ennemis que nous avons appris à ânonner haut et fort pour dédouaner l’Islam de la situation d’infériorité qu’il a infligé à nos mères, à nos épouses, à nos sœurs, et à nos filles depuis 14 siècles. Mais pour ma part, je crois que nous parlons de l’Islam sans connaître sa matrice, la bédouinité.

Je pourrai soulever d’autres questions qui fâchent, à l’exemple de l’esclavage qui est codifié par l’Islam, le sort des juifs et des chrétiens qui deviennent des dhimmis. Quant au sort du renégat, il est vite expédié, car il est du devoir de chaque musulman de lui couper la tête. On devient musulman par héritage et pour l’éternité… Où sont passés les droits de l’homme et où passée la liberté de conscience, de confession en territoires islamiques dont se gargarisent les intellectuels musulmans confortablement installés en Occident, terre par excellence des Infidèles, qui squattent à longueur d’année certains plateaux de chaînes de télévisions avec la complicité des journalistes en quête d’audimat ?

Mais moi, j’ai des trous de mémoire, excusez-moi, j’ai oublié qu’il y a une vraie douceur de vivre en terre Chrétienne mille fois mieux qu’à la Mecque. Alors de grâce, ces censeurs de conscience qui croient dur comme fer que l’Islam est humaniste, pourquoi s’accrochent-ils contre vents et marrées à demeurer en Occident alors qu’ils seraient mieux lotis en terre d’Islam pour adorer Allah en toute quiétude sans qu’ils soient gênés par le comportement immoral des Occidentaux comme ils ne cessent de le radoter, aux pays du porc et du vin? Quant à moi, je les invite à me rejoindre dans l’enfer de l’arabo-catastrophisme, je les y attendrai avec du lait et des dattes tout en leur souhaitant la bienvenue au club des damnés de la terre, car de Tanger jusqu’à Djakarta, je n’aperçois qu’aliénation culturelle, haine, sous-développement, misère et désolation.

J’arrête de divaguer mais pas avant de vous avoir dit, Madame la Sénatrice, que la femme n’a pas le droit de fouler le paradis où elle sera remplacée par les houris. Heureux le musulman qui accédera au ferdaous, le jour du jugement dernier, car il aura à sa disposition soixante douze houris et des rivières de vin ( verset coranique).
Et je vous défie de m’apporter les arguments contraires. Arrêtez de faire de la manipulation, car tôt ou tard la vérité éclatera et les Français de gauche découvriront le vrai visage de cette religion basée sur les mensonges, l’exclusion et la barbarie quand ils seront devenus des dhimmis mais ce jour-là, il sera trop tard.


Veuillez agréer, Madame la Sénatrice, l’expression de ma haute considération.
Hamdane Ammar

03:07 Écrit par Bonnes Nouvelles dans F o r u m | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 01 juillet 2014

Ramadan = Fumisterie

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07:07 Écrit par Bonnes Nouvelles dans F o r u m | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook